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CEDIF Comité Elargi de Défense de l'Individu et des Familles

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Little Brother see you

"Little Brother see you"   *   (Maurice Flower sur Flickr) 

*CEDIF* - Comité Elargi de Défense de l'Individu et des Familles, connu également sous la dénomination Comité CEDIF,  est une association à but non lucratif régie par la loi du 1er juillet 1901. Elle a été insérée dans le JO de la RF en date du 18/09/2010 en page 4326 sous le n° 175. L'organisation agit prioritairement en faveur des  ceux qui, dans leur qualité des parents, sont confrontés aux services sociaux et plus précisément à l'ASE

Cofondateur et Président de l'association Xavier Collet (Ксавие Коле)
Cofondateur et Vice-Président de l'association Boris Tanusheff (Борис Танушев)

Chers ami(e)s,

Ce site n’est plus régulièrement mis à jours depuis 2016.  Son contenu est toujours d’actualité, mais si vous voulez lire nos derniers articles, veuillez suivre le lien qui va vous emmener au site actuel du CEDIF. : https://comitecedif.wordpress.com/ Vous pouvez également contacter notre association à l’adresse suivante : association.cedif@gmail.com

Merci pour votre fidélité !

 

Notre sélection multimédia des sujets qui interpellent

 

Appels importants à faire tourner

/ "Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire." George Orwell /

Afin d’aider les familles victimes de modes opératoires autoritaires et arbitraires du service de la protection de l’enfance, notre association CEDIF met en place un Livre Noir dénonçant ses pratiques abusives : http://asso-cedif.e-monsite.com/pages/tracts-appels/livre-noir-des-ss.html. Il peut être utile de mettre en commun les différentes expériences traumatisantes vécues par des parents, des enfants placés, des tiers, tous faussement accusés ou objets d’acharnement de la part d’ASE. Leurs témoignages seront, après vérification, relatés anonymement. Le document final donnera lieu à un rapport, complémentaire à celui que nous avons déjà produit, concernant la protection de l’enfance. " On se dit par exemple qu’il mérite d’être aidé, que c’est justement de votre aide dont il a besoin et qu’il se montrera à coup sûr profondément reconnaissant, attaché, soumis en réponse au moindre secours, c’est avec de telles imaginations qu’on dispose des nécessiteux comme d’une propriété, de même que c’est par ce désir de posséder qu’on se montre bienfaisant et secourable ",  Paul Fustier, parole de Nietzche, p 47. : http://asso-cedif.e-monsite.com/pages/se-r-vices-sociaux/les-revelations-d-une-travailleuse-sociale.html
Cedif : http://asso-cedif.e-monsite.com/pages/interpellations/l-etat-de-la-protection-de-l-enfance.html    

Ce qu’il se passe dans le domaine de la protection de l’enfance n’est pas digne d’un pays qui se prétend berceau de droits de l’homme. De la souffrance est imposée la pluspart du temps  injustement aux parents et enfants, dans l’indifférence médiatique totale car l’opinion publique est soigneusement tenue à l’écart des exactions de l’ASE supposée irréprochable. C’est pourquoi il est impératif de faire tomber cette chape de silence posée sur le sort de nos familles, coûte que coûte, jusqu’à ce que nos cris aillent la briser. A cet égard j’ai une idée de riposte inspirée par Kant qui affirme que « Nous ne voyons pas le monde tel qu'il est, mais tel que nous sommes. » Or, quand nous somme faussement accusés par les SS et les juges, n’est ce pas parce qu’ils projettent selon cette logique, approuvée également par la psychanalyse, leurs propres défauts et sévices sur nous. C’est pourquoi il est tout à fait légitime de penser que nous somme en face des fonctionnaires psychiquement instables, délirants ou déviants, et il en va de notre devoir moral de signaler au procureur, au nom de leur tant aimé principe de précaution, le danger qu'ils représentent eux-mêmes pour leurs propres enfants. Retourner le système contre eux c’est le meilleur moyen de les faire reculer.
Boris Tanusheff

Je vous appelle à déposer des articles sur Facebook, dénonçant avec précision ce que vous avez subi, nommant les personnes qui ont commis des délits et des fautes graves pour vous réduire à portion parentale congrue, et à le faire sans haine ni insulte, vous bornant à dire les faits et nommer les responsables. Ensuite il faut adresser au procureur de la république le texte que vous avez déposé sur la toile publique, avec les références "http" par copier coller afin de leur en faciliter la prise de connaissance, et d’adresser également une copie de ce texte à votre député et au ministre de la justice. Nul n’étant censé ignorer la loi, vos déclarations devront impérativement, et légalement pour le coup, donner lieu à poursuite et enquête.
Pascal Dazin

       

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* Sur la photo : Pavel Morozov (1918 - 1932), mieux connu sous le diminutif Pavlik, est un jeune paysan russe glorifié par la propagande soviétique et érigé en icône du communisme. Son titre officiel était "pionnier-héros numéro 001 de l’Union Soviétique". A l’âge de 13 ans, à une époque où la famine régnait et les bolcheviks réquisitionnaient le grain, il dénonce son père aux autorités pour la "violation manifeste de la ligne de parti" persuadé que ce-dernier, alors responsable du soviet local, dissimulait du grain (c'était en réalité pour préserver le vilage de la sous-alimentation) et qu'il fournissait des faux-papiers à des "koulaks" (pour qu'ils puissent échapper aux persécutions). Le père fut arrêté, déporté dans un camp de travail  forcé et abattu l’année suivante.  La vengeance attrapa le fils et il ne survécut pas à son acte de dénonciation mais les autorités communistes firent de lui un héros. Il devint un conte de la morale soviétique considérant l’opposition à l'Etat comme réactionnaire, et la loyauté envers les institutions comme une vertu plus grande que celle de l'amour familial. Son histoire fut sujet de lecture obligatoire, de pièces de théâtre, des chansons, d’un poème symphonique et même d’un opéra. Son culte lui dédia des monuments et il donna son nom à des rues et des écoles. Pendant soixante ans, Pavlik Morozov fut un exemple pour toute la jeunesse soviétique : elle devait consacrer son existence à l’État et non pas à sa famille ; les enfants étaient incités à informer les autorités du comportement de leurs parents ; devant les tribunaux on autorisait l’utilisation de leurs témoignages et la dénonciation anonyme… (toute coïncidence ou ressemblance avec la pratique réelle en France n'est ni fortuite ni involontaire)
 

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