Québec - un GOULAG d'enfants
Commentaires
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je n'en reviens pas, ce n'est pas aux enfants qu'il faut s'en prendre, mais a ces parents complètement irresponsables. Ce qui me surprend, c'est la premiere fois que j'entend parler de ces chiffres, Qui sont ces gens derriere qui cherchent a ce que ca ne se sache pas. Je n'en revient pas, un vrai scandale de société, Je peux bien etre en chrisss de tout ces gens, bon chic bon genre, pres a sacrifier leurs propres enfants, des gens qui méritent meme pas de vivre. Une vraie société de parvenus égoiste et sans coeur et on veut faire un pays avec ca, calvert
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Bonjour Monsieur,
Je crains que vous ne preniez cet article à l'envers : les parents sont VICTIMES, pas coupables !! -
ouinnnnnn ,désastre sur toutes catégories au Québec ,....pas fière d'être québécoise ....j'espère que la nouvelle génération de nos jeunes vont voir tout ça avec des `` yeux meilleurs ``
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Pour information :
Toute personne a droit à un procès équitable. Conformément aux mécanismes internationaux de protection des droits de l'homme, les violations de ce droit peuvent prendre diverses formes, dont :
!) Les jugements où, d'entrée de jeu, une partie a un avantage évident sur une autre (en violation du principe de « l'égalité des armes »),,
Les lois de procédure, ou leur application, qui établissent des distinctions fondées sur l'un quelconque des motifs énoncés au paragraphe 1 de l'article 2 et à l'article 26, ou ignorent le droit égal des hommes et des femmes visé à l'article 3 de jouir des garanties énoncées à l'article 14 du Pacte, violent non seulement l'obligation faite au paragraphe 1 de cet article qui dispose que «tous sont égaux devant les tribunaux et les cours de justice», mais peut aussi constituer une "discrimination."
Constitue également une faute de justice le déni de :
Toute personne bénéficie du bénéfice du doute, tant que les preuves de sa culpabilité n'ont pas été fondées, et tant que le tribunal ne donne pas a entendre qu'il peut se produire une erreur judiciaire, au delà de tout doute raisonnable.
Pourquoi invoquer l'article 14 du Pacte International relatif aux droits civils et politiques, au regard de ses dispositions :
Laissant l'appréciation des faits et des éléments de preuve donnée par les tribunaux ou par d'autres autorités nationales, sans réexaminer l'interprétation de la législation interne, alors qu'il peut être établi que l'appréciation des éléments de preuve ou l'application de la législation ont été de toute évidence arbitraire, manifestement entachées d'erreur ou ont représenté un déni de justice, ou que le tribunal a par ailleurs violé son obligation d'indépendance et d'impartialité -
Bon, maintenant qu'on sait tout ca, ou peu t-on aller se plaindre pour faire changer les chose? , ah ok toute est corompu donc est est vraiment baiser de tout les coter,
les manifestation ..... ah non ca non plus ca marche pas, les policiers declarer les manif illegal des le depart ca les arrange bien,
et Mado parle de generation futur, lol, juste a voir les porte parole des manif etudiante et a regarder ou ils se sont placer les pied aujourd<hui on voit bien qu,avec un peu d,argent on peu tous les acheter
bref ca va prendre une bonne revolution ou un bon virus pour tout remettre a zero, bref va falloir que Dieu efface tout et recommence -
Lettre ouverte … le DPJ : ’’ Le risque d'avoir du pouvoir est d'en abuser’’,
Voilà ce à quoi la DPJ est pleinement consciente d'avoir et en abuse allégrement. Je ne parle pas ici de jardin ou piscine à un million $, mais de nos enfants qui ont des droits intrinsèques et que ces droits doivent être respectés. Malheureusement, des enfants se font retirer de leurs familles de manière radicale sous prétexte d'aliénation parentale. Le choc à l'enfant est minimisé de façon odieuse et personne ne semble s'en préoccuper, surtout pas les avocats d'enfants. La DPJ multiplie les erreurs et les raisons de produire des délais de cour à plus finir: vacances de l'un, maladie de l'autre, etc. Les remises de dates à plus finir, le temps passe, les mois et un an déjà et rien n'est réglé, rien n'est fait pour le plus grand bien de l'enfant. L'intervention de la DPJ est des plus négatives, ce qui favorise un terrain malsain et très fertile pour se faire démolir dans les cas des plus fragiles, car les menaces et sous-entendus abondants fragilisent encore plus et dans leur monde les sentiments ne sont pas admis. La bonne volonté des parents ou grands-parents n’est pas encouragée, aucune attente n’est permise d'être exprimée de la part des parents. La DPJ aime bien montrer qu'elle a le gros bout du bâton et aime vous savoir soumis sinon, une autre excuse et le festival de la cour se poursuit. Les avocats d'enfants ne connaissent pas l'enfant et se contentent de suivre sans s'objecter, car la DPJ a toujours raison et monte le dossier de façon qui laisse croire à des risques potentiels avec des si et des si amplifiés. L'enfant se fait façonner dans ces maisons d'accueil comme s'il était fait de plasticine et n'a souvent et même tout le temps, qu'à se soumettre et étouffer sa peine, car le but est d'être fait fort. Genre enfant obéissant et l'arrachement aux parents, oublie ça. C'est de même que ça se passe dans le monde des adultes. Ça coûte à l'enfant qui n'a jamais subi quoi que ce soit avant, d'être maintenant marqué et très ébranlé avec le lien de confiance bâti avec les parents, parents mains et pieds liés devant la nouvelle gestapo du pouvoir. Avec des suppositions des intervenants imbus d'eux-mêmes aussi nébuleux qu'il est possible d'être, les dossiers sont montés de façon à donner en cadeau nos enfants aux familles d'accueil aisées. La pauvreté est perçue comme une faiblesse, une incompétence parentale et vue comme pas favorable à l'éducation et l'autonomie de l'enfant, ce qui est des plus faux. J'espère que les parents et les familles des abusés ne se laissent plus intimidés et se fortifient dans la confiance de savoir que le Québec ne donnera pas ses enfants sous prétexte de ne pas être compétent. La DPJ se délecte de ses abus qui doivent être dénoncés sans peur, car le temps d'être un enfant est précieux et nous voulons le plus grand bien pour eux.C'est une tragédie de fermer les yeux là-dessus et un devoir d'y voir.
http://www.lexpressmontcalm.com/Opinion/Tribune-libre/2013-11-12/article-3478533/A-propos-de-la-DPJ/1 -
SACRIFICE D’ENFANTS AU QUÉBEC, :
«Le Québec fou de ses enfants ».Il y a des enfants que l’on assassine froidement à l’arme blanche et les enfants que l’on assassine à petit feu, qui croupissent dans le couloir de la mort, des enfants pour qui toutes possibilités de venir en aide se heurtent aux explications macabres On ne peut rien faire, le dossier est devant le juge!.. «C ‘est comme ça que ça fonctionne» répétés ad nauseam par nos institutions, qui de la commission des droits de la personne, du protecteur du citoyen, nos élus, etc..
Dans la règle du jeu, de gros joueurs, certains psychiatres qui par allégeance, ou considérations partisanes à maintenir des standards artificiels pour la publication et l’obtention de fonds de recherche n’hésiteront pas à délivrer des « maladies à la carte, sur mandat du DPJ», sait-on jamais cela pourrait toujours servir la science!…: http://www.ageofautism.com/2010/03/fombonne-lord-leventhal-vs-children-with-autism.html, «c’est comment ça que ça marche au QG du Dr Éric Fombonne du MCH» :
Le parent escorté d’une intervenante du DPJ( Chantal Carmichael, spécialiste des appels déguisés après cour) se rend dans un immeuble désaffecté, rue Ste Catherine qui donne froid au dos. A l’entrée de l’immeuble se trouve un appariteur assis à une table dans l’obscurité, le parent est invité à décliner son identité et remplir un billet comme dans les régimes soviétiques, après approbation d’un organe de contrôle contacté au téléphone, le parent toujours escorté de l’intervenante du DPJ monte à l’étage supérieur, dans ce lugubre édifice, pas âme qui vive en dehors du Dr Fombonne, fin prêt au sacrifice d’enfants sur mandat express du DPJ,
l’intervenante du DPJ est entendue en premier sans la présence du parent protecteur , lors de l’examen clinique aucune information fournie par le parent, (je précise protecteur) n’est prise en considération, le diagnostic tombe sans appel à la première rencontre, le parent est invité à signer un papier d’une subvention de 160$/mois pour étiqueter l’enfant à la Régie des Rentes, des références pour bilans ultérieurs qui ne verront jamais le jour sont remises au parent, La job terminée, une lettre est adressée par le Dr Fombonne au parent ciblé, l’invitant à s’adresser désormais au médecin traitant de l’enfant qui se trouve être «un médecin de pédiatrie sociale»,
Le jour de l’audience à la chambre jeunesse, Dr Fombonne témoin expert du DPJ qui n’a jamais revu l’enfant viendra témoigner à la place de l’intervenante du DPJ pour retirer la garde au parent aimant protecteur et de ce fait même le DPJ qui a le fardeau de la preuve va se soustraire au témoignage et le tour est joué , le DPJ va tenter de faire signer une entente au parent ciblé : «de reconnaitre le diagnostic émis par le Dr Fombonne, de s’’engager à ne faire aucune autre évaluation pour confirmer le diagnostic du Dr Fombonne et de consentir au droits de garde fixés par le DPJ»
«Mission accomplie», le service après-vente du jugement de garde de la cour supérieure vient d’être assurée au mérite par l’intervenante du DPJ, sous l’œil inquisiteur de l’avocat du DPJ et l’enfant de l’enfant, pas d’arbitrage de juge!.. Je renvoie à ce titre à l’étude de la chercheuse de Marie Jacob ’’ Conflit de garde et DPJ’’ Ou il est démontré que bon nombre parents passent par le DPJ pour régler leur différent en matière de garde, pas nécessairement parce qu’il y a compromission d’enfant, qui «des mères invoquant l’abus sexuel et des pères des problèmes de développement »
‘.http://www.barreau.qc.ca/pdf/journal/vol35/no14/regards.html…………………………………… L’enfant pris en otage, commence alors la descente aux enfers du parent aimant, protecteur qui pensait candidement « qu’un jugement au Québec est force de loi» l’enfant quant à lui va sombrer dans les dédales du DPJ, médication forcée avec de puissants psychotropes, séparation d’avec la figure d’attachement, l’enfant va dépérir au fils du temps, L’intervenante Chantal Carmichael va disparaitre pendant un temps avant de se voir promue a un poste de superviseuse, le Dr Fombonne disparaitra dans la nature, année sabbatique indéterminée , l’enfant ira rejoindre le rang ‘’des orphelins de Duplessis’’..
Toutes tentatives de venir en aide à l’enfant sera vouée à l’échec, « Parole d’évangile, les gardiens du temple » ne voudront jamais perdre la face, pas d’évaluation indépendante pas d’hospitalisation, pas d’arrêt de la médication «c’est coulé dans le béton » Qu’importe la grave compromission de l’enfant les docteurs ‘’MABUSE’’ archétype de génie de l’horreur et du crime, se dissimulent sous de multiples visages et personnalités, ils trouveront toujours quelqu’un pour ré-endosser leur destruction et perpétuer le génie du mal(dans ce cas-ci un octogénaire de l’hôpital Ste Justine QG du DPJ , le psychiatre Michel Lemay) . On peut même finalement en déduire que ‘’Mabuse’’ ne serait que l’expression d’un esprit du mal nécessaire à la société, son but n’est pas de conquérir le monde et de le soumettre, mais bien de le détruire et ne régner que sur ses ruines.
Viendra alors la Commission Charbonneau / le grand épisode « DES CHIFFRES ET DES LETTRES », Le juge Michel Déziel éclaboussé à la commission Charbonneau : Ce juge du district de Laval avait été appelé expressément à statuer dans le dossier de l’enfant au palais de justice de Montréal, suite introduction d’un appel art. 100 sur décision rendue par la chambre de la jeunesse, ultime tentative de venir en aide à l’enfant qui avait perdu ‘’ l’usage du langage’’,
Ce juge, de connivence avec le DPJ qui s’était précipité a introduire une requête incidente pour faire déclarer la mère ‘’quérulente’’ et bloquer l’appel de son enfant, a condamné cette mère sur un faux en l’absence de factures a des frais d’ honoraires d’avocats fictifs avec dommages-intérêts, d’un montant de 20.000$, au vu d’une simple lettre frauduleuse d’un avocat de la partie adverse sorti du dossier de garde depuis des lustres , des sommes non identifiés, référant à priori aux dates de procédures de la garde d’enfant (jugements intérimaires de garde de la juge Nicole Benard, J.C.S, de la juge Danielle Grenier J.C.S. et jugement final du juge Herbert Marx J.C.S, ayant statué respectivement sur la garde,) ont été prises au hasard dans cette lettre.
Jugement circonstancié a été rendu par le juge Michel Déziel pour bâillonner cette mère selon la loi 9 du nouveau code de procédure et bloquer l’appel de son enfant, Un petit enfant qui aurait pu hélas être sauver dès 2010 avec recommandations expresses de spécialistes au dossier, psychologues, pédopsychiatre, milieux scolaire, CLSC signalant la détérioration extrême de l’enfant et l’urgence à intervenir avant qu’il ne soit trop tard , un enfant dont l’avenir est présentement hypothéqué a jamais Ce jugement fallacieux fait malheureusement l’objet de jurisprudence…….NB. .le Barreau saisi à cet effet pour réclamer les factures mystérieuses des frais d’honoraires à l’avocat en question, Me Guy Ste Marie, cabinet Gurkin a Longueuil, Affaire classée sans suite !… «c’est comme ça que ça fonctionne», répétés ad nauseam PAR LES GARDIENS DU TEMPLE DE DROITS ET LIBERTÉS!…
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1381679652048189&set=a.1381679522048202.1073741828.100006185013619&type=1&theater
Fombonne, Lord, Leventhal vs. Children with Autism – AGE OF AUTISM
http://www.ageofautism.com
By Katie Wright What kind of human being makes money by testifying against disab.. -
http://lesmoutonsenrages.fr/2014/09/04/lahurissant-scandale-des-tutelles-dont-tout-le-monde-se-fout/
Mais il y a mieux. Cette histoire de l’UDAF de Pau son directeur Mr Henri Clair n'a pas été ennuyé par la justice lui et son équipe .....
qui a pendant 20 ans spolié les personnes placées sous sa « protection
. A plusieurs reprises, des plaintes circonstanciées ont été classées sans suite. Il a fallu l’acharnement d’un préfet, Michel Cabane (qui s’explique très clairement) pour qu’enfin une instruction soit ouverte. Et qu’a fait le ministère public ? Il a laissé passer le délai (volontairement ? En échange de quoi ?) et a repris la procédure trois jours après la prescription. Résultat : non lieu et plus de 4 millions d’euros détournés en toute impunité avec la complicité du système judiciaire. Sans doute beaucoup plus nous dit le reportage. On veut bien le croire.
Le médiateur de la République a tenté de son côté de faire adopter des modifications pour renforcer les contrôles sur les gestionnaires de tutelle. Mais toutes ces tentatives ont été vaines.
Le médiateur le dit lui-même dans le reportage : le lobby des associations gestionnaires de tutelle, l’UNAF en l’occurrence, est trop puissant.
Comment ça « trop puissant » ?
Qu’est-ce que cela signifie ?
Cela veut-il dire que dans notre pays, on peut spolier des personnes âgées, les ruiner, les faire mourir comme Jeanne, avec la complicité passive de tous les corps de contrôle, élus compris ?
Je n’ose le croire mais je le crains. Je pensais que depuis Balzac, on avait mis fin à ces histoires sordides comme celle du « Curé de Tours ».
Mais non, tout continue. Aux vu et au su de tous.
Le reportage a beau donner les noms et les adresses des personnes accusées de détournement, d’abus de confiance et d’escroquerie, rien ne se passe.
J’espère seulement que ces tuteurs véreux, que ces juges passifs (et je suis poli), que ces autorités de contrôle opportunément sourdes et aveugles connaîtront sur leurs vieux jours le sort qu’ils ont fait subir à leurs victimes désarmées.
Ce reportage me laisse outré et scandalisé. La France est pire qu’une république bananière. Ça fait plus de 20 ans que ces scandales durent et qu’on ne voit rien venir de sérieux de la part des hommes politiques pour y mettre fin.
On va finir par croire qu’ils y ont intérêt.
Et que cet intérêt se mesure en monnaie sonnante et trébuchante[ -
qui a pendant 20 ans spolié les personnes placées sous sa « protection
. A plusieurs reprises, des plaintes circonstanciées ont été classées sans suite. Il a fallu l’acharnement d’un préfet, Michel Cabane (qui s’explique très clairement) pour qu’enfin une instruction soit ouverte. Et qu’a fait le ministère public ? Il a laissé passer le délai (volontairement ? En échange de quoi ?) et a repris la procédure trois jours après la prescription. Résultat : non lieu et plus de 4 millions d’euros détournés en toute impunité avec la complicité du système judiciaire. Sans doute beaucoup plus nous dit le reportage. On veut bien le croire.
Le médiateur de la République a tenté de son côté de faire adopter des modifications pour renforcer les contrôles sur les gestionnaires de tutelle. Mais toutes ces tentatives ont été vaines.
Le médiateur le dit lui-même dans le reportage : le lobby des associations gestionnaires de tutelle, l’UNAF en l’occurrence, est trop puissant.
Comment ça « trop puissant » ?
Qu’est-ce que cela signifie ?
Cela veut-il dire que dans notre pays, on peut spolier des personnes âgées, les ruiner, les faire mourir comme Jeanne, avec la complicité passive de tous les corps de contrôle, élus compris ?
Je n’ose le croire mais je le crains. Je pensais que depuis Balzac, on avait mis fin à ces histoires sordides comme celle du « Curé de Tours ».
Mais non, tout continue. Aux vu et au su de tous.
Le reportage a beau donner les noms et les adresses des personnes accusées de détournement, d’abus de confiance et d’escroquerie, rien ne se passe.
J’espère seulement que ces tuteurs véreux, que ces juges passifs (et je suis poli), que ces autorités de contrôle opportunément sourdes et aveugles connaîtront sur leurs vieux jours le sort qu’ils ont fait subir à leurs victimes désarmées.
Ce reportage me laisse outré et scandalisé. La France est pire qu’une république bananière. Ça fait plus de 20 ans que ces scandales durent et qu’on ne voit rien venir de sérieux de la part des hommes politiques pour y mettre fin.
On va finir par croire qu’ils y ont intérêt.
Et que cet intérêt se mesure en monnaie sonnante et trébuchante[ -
Autant d'enfant au Québec, le but c'est quoi supprimer les racines Françaises ?
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Le même système est mis en place ici en France, derrière cela il y a des intello socialistes qui en déstructurant les valeurs de la famille, transforme vos enfants en futur socialiste. En France ce sont devenu des rois de l'intox, ils sont devenu une MAFFIA SOCIALISTE. Il y a actuellement une prise de conscience petit à petit de la part de tous les Français, une crise sociale majeure arrive à grand pas. Comptez sur cette MAFFIA SOCIALISTE pour en profiter et étendre un peu plus leurs pouvoirs.
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Bonjour,j'ai été militant de gauche pendant 25 ans.Le socialisme n'a rien avoir avec tout ça,cependant il est vrai que les socialos détestent "la famille" il est vrai aussi qu'ils permettent un corporatisme donc une logique de détournements des lois et des impots.Je ne connaissais pas les SS avant juillet dernier et c'est tout simplement effarant d'observer la façon dont ils s'y prennent , j'ai lu plusieurs documents officiels qui rendent compte des échanges entre familles et SS, j'ai lu plusieurs "préconisations"transmises au juge (j'ai ces documents grâce à réseau de résistants). J'ai fait une expérience, si l'on change les dates , les lieux ,et les noms propres on peut faire croire à un document émanant de l'ex urss ou d'une dictature d'extrême droite.L'ASE a dévoyé la mission qui était la leur juste pour faire du fric.Ces gens qui se disent de gauche commencent vraiment à m'inquieter en ce sens ou ils mettent vraiment notre démocratie en péril,pas question de les laisser faire battons nous .Pour la 1ere fois de ma vie j'ai voté à droite,j'ai fait plus de 1000 photocopies j'explique aux gens le drame que vivent un nombre de plus en plus croissant de familles.Je me répète battons nous !!!
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Nous avons été au prise avec la DPJ durant les années 2000. Ça nous a couté très cher, nous en avons perdu des emplois, avons été sali devant les enseignant. Mais, l'enqueteur du service de police, qui est retaité aujourd'hui, nous a remis un vidéo que la DPJ a fait à notre sujet. Ce video démontre clairement que la DPJ ne pouvait rien contre nous. Nous avons toujours ignoré ce vidéo, mais aujourd'hui pensont sérieusement à poursuivre le gouvernement du Québec. Et ce, même si on nous a forcé à signer un document nous en enpêchant. Maintenant que nous sommes en Ontario, libre de cette dictature, que les enfants sont presque tous majeurs, je crois que nous allons fessé dans le tas!
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Lorsqu'il s'agit de réseaux où des notables locaux sont impliqués, vous n'avez en tant que victime d'abus AUCUNE chance d'obtenir autre chose qu'un classement sans suite de votre plainte, puis un non lieu si vous vous constituez partie civile.
Les avocats locaux qui sont bien évidemment tous au courant de l'existence de ce réseau ne prendront pas votre affaire et vous ne trouverez personne pour vous défendre sérieusement: Quel avocat voudrait mettre sa carrière en jeu en attaquant un parent abuseur qui a des relations avec des notables dans sa ville?
Ainsi il y a des procédures "d'instruction" où ni les enfants victimes, ni leur parent protecteur ni le parent abuseur ne sont entendus une seule fois!!! Aucune enquête n'est faite, et aucun des certificats médicaux, des signalements, ni aucune des nombreuses expertises judiciaires (!) psychologiques constatant les syndromes posttraumatiques des enfants suite aux abus sexuels qu'ils ont subis, ne sont pris au sérieux par le juge "d'instruction". Ces certificats ou expertises ne seront même pas mentionnés dans l'ordonnance de non lieu ou - pire encore - seront ridiculisés..
.Et ceci sous le prétexte bien connu que les enfants auraient été manipulés par le parent protecteur. C'est toujours la même histoire - et c'est même ainsi lorsqu'il s'agit d'une affaire internationale et qu'un parquet d'un autre Etat européen a demandé à la France de poursuivre l'enquête contre un parent français présumé pédocriminel et que le parquet de cet autre etat a transmis le dossier volumineux au parquet d'une ville moyenne française où sévit un réseau...
Et tout cela est classé sans suite sans enquête (suivi d'un "non-lieu à poursuivre") malgré le non-lieu déjà prononcé préalablement dans le premier pays en faveur du parent protecteur que l'abuseur avait immédiatement accusé de "dénonciation calomnieuse" dés que le parent protecteur avait déposé sa plainte contre l'abuseur et contre ses complices pour viols, abus sexuels aggravés et production de photos et de vidéos pédocriminels de ses propres enfants. Ainsi, le parquet français - qui n'a plus pu punir le parent protecteur pour dénonciation calomnieuse comme cela se fait régulièrement dans des cas similaires - ne s'est pas privé pour autant d'accuser quand même le parent protecteur d'avoir tout simplement menti et d'avoir manipulé les enfants.
Le parent protecteur se voit donc diffamé de façon tout à fait scandaleuse dans le non-lieu prononcé par le parquet français protégeant l'abuseur - et l'abuseur est ainsi innocenté et se frotte les mains....Il semblerait que cela est de nos jours un scénario tout à fait "classique" et habituel en France. En fait, les seuls pédocriminels qui sont reconnus coupables et dont on parle largement dans la presse sont ceux qui n'appartiennet à aucun réseau....
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2015/03/28/31788427.html#comments -
Je ne suis pas une victime de la DPJ mais une victime du juge M. D. qui a changé la version des faits des avocates dans sont jugement du 8 mars 2011, depuis on ma envoyé à Bordeaux deux nuits sur un avis de comparution a mon ex-avocate dans une procédure civil, car elle est devenue en 2012 procureure de la couronne et en 2016 juge de paix, voila comment fonction notre système on nomme des gens de mauvaise foi, procureur et ensuite juge. http://demandeenqueteaubarreau.over-blog.com/2014/11/est-ce-une-magouille-judiciaire.html
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