Le courageux député de Genève, Monsieur Marc Falquet met les pieds dans l’indigeste plat des internements abusifs d’enfants, le mal-nommé service de protection des mineurs est visé par cette question posée au Grand Conseil le 15 mars 2013 à l’attention du Conseil d’État de Genève.
Face à l’acharnement terrible qui détruit 4 enfants innocents, un comité de soutien s’est constitué et une conférence de presse a eu lieu le 16 janvier au café de l’Hôtel de Ville à Genève. Des actions concrètes ont été proposées et un appel à toutes les victimes du Service de Protection des Mineurs a été lancé.
Les mots du cœur et de la raison
Les mots utilisés sont à la fois ceux du cœur et de la raison, le député Falquet dénonce le sort qui est fait à une famille par les service de la protection des mineurs avec la complicité de médecins.
Il faut lire les mots du député Falquet. pour comprendre la douleur de Sandrine et Serge Babel Andrieux et de leurs enfants, Mathieu, Aurélien, Raphaël et Thomas, âgés aujourd’hui de 6 à 12 ans. Ces mots nous les reprenons avec le détail de l’affaire quitte à oser la paraphrase.
Une drôle d’école
L’affaire commence avec la médiatisation des difficultés posés par l’école de Compesières à l’insertion scolaire d’Aurélien, souffrant d’une maladie génétique : .
C’est cette même école qui produira un signalement abusif auprès des services sociaux de la protection des mineurs (SPMi). Tiens, tiens, l’école n’aime pas la mauvaise publicité semble-t-il.
Signalement qui prospère puisque le 17 avril 2012, trois gendarmes en uniforme pénètrent dans l’établissement scolaire pour enlever Raphaël, Thomas et Aurélien devant leurs camarades de classe. Simultanément, Mathieu, 5 ans est pris au domicile de ses parents sur intervention du SPMi.
Les enfants et parents n’ont pourtant commis aucun crime, aucune infraction, pas la moindre maltraitance, non il s’agit de parents aimants et protecteurs à l’écoute de leur quatre enfants dont deux souffrent d’un handicap.
Qui peut faire cela à un enfant ?
Les trois enfants aînés sont mis au secret de leurs parents pendant plus de 3 semaines. Trois semaines sans pouvoir les voir, sans comprendre ce qu’il advient d’eux.
Puis des mois se passent, leur retour n’aura lieu qu’à la fin de l’année 2012 mais dans un état de détresse physique et de choc psychologique.
Quant à Mathieu, le cadet, son sort est pire encore. Il est placé et maintenu dans une chambre de sécurité à l‘intérieur de l’unité psychiatrique de l’hôpital cantonal. Une situation qui n’a rien de temporaire sur la foi d’un rapport d’expertise d’une pédopsychiatre missionnée par la juge de "la protection des mineurs et des adultes". Un de ces rapports infamants qui prétend : " Que le développement de Mathieu serait compromis s’il restait auprès de ses parents en raison de son fonctionnement psychotique ".
C’est donc sur ce faux diagnostic de psychose qu’un enfant de 5 ans subit un traitement chimique exposant sa santé et son équilibre. Mathieu est aussi sanglé sans que cela ne semble poser de problème particulier au service de pédiatrie des Hôpitaux Universitaires de Genève ! Il ne manque plus que la camisole de force.
La maman indique : " Nous avons mis 6 mois pour savoir dans quelles conditions était enfermé notre fils. Il avait des ecchymoses à l’oeil et aux jambes. Il ne parlait pas du fait de son autisme et ne pouvait nous raconter qui s’était passé. Lorsque je venais lui rendre visite je le voyais, sa petite tête appuyée contre la fenêtre à surveiller mon arrivée lorsque je le quittais, c’était un déchirement pour nous deux ".
Un enfant de 5 ans déshumanisé, enfermé dans une chambre avec pour seul confort un matelas dans une chambre sans âme, vide, sèchement vide. Qui pourrait supporter cela, accepter cette ignominie.
Et vous juge Emmanuelle de Montanzon-Petitpierre, qui avez décidé de la destinée de cet enfant ; vous Marina Walter, experte en éloignement familial ; vous le personnel pédiatrique, considérez-vous que Mathieu ait une âme, une sensibilité pour le traiter comme vous le faîtes ?
Cette question a trouvé une réponse dans ce qui suit, mais vous, lecteur, en jugerez vous-même.
Un placement injustifiable, une faute lourde des institutions genevoises
Le député Falquet met en évidence la responsabilité du quatuor magistrat-expert-médecin-services sociaux . Il le fait bien et ses arguments démontent l’acharnement coupable contre ce petit ange.
Il constate que le placement se fonde sur une expertise de psychose alors qu’un tel diagnostic est interdit de nos jours et que des experts reconnus au plan international dont Hillary Wlide Wood ont mis en évidence un trouble du spectre autistique. Or le placement d’un enfant pour autisme est contraire aux normes de l’Organisation Mondiale de la Santé. D’ailleurs et à titre général, on s’accorde à considérer que le retrait d’un enfant autiste à sa famille est de nature à causer des préjudices irréversibles.
Irréversible, le dommage est donc d’ores et déjà constitué. Le comportement fautif du quatuor institutionnel est en conséquence bien évident.
Aussi scandaleuse soit-elle, rappelons que l’enfant est toujours détenu à ce jour, cette affaire ahurissante déjà médiatisée connaît aussi des redites du côté de Brest. Elle relève bien d’un aveuglement absurde, dans lequel la magistrate cautionne par son jugement des pratiques barbares préconisées par des professionnels incompétents et obtus.
Que l'exécutif fasse enfin son travail
On attendait donc que le Conseil d’Etat, organe exécutif fasse son travail. Attente déçue puisque là bas aussi on se cache derrière une décision de justice.
Une réponse donc sans le moindre intérêt qui démontre encore une fois que l’État est la plus grande menace pour nos libertés individuelles et familiales en témoigne cette profession de foi savoureuse : " Le Conseil d’Etat exprime sa pleine confiance aux institutions qui mettent en oeuvre les compétences professionnelles et l’expertise au quotidien pour assurer une prise en charge pertinente et de qualité de ces enfants. " !
La vengeance des sévices sociaux
Mais attendez l’affaire n’est pas finie et elle tient désormais de la vengeance de ce qu’il convient bien d’appeler les sévices sociaux de Genève face à une médiatisation qui dévoile leur vrai visage.
Laurent Moutinot , ancien directeur du SPMI et ancien conseiller d’État socialiste, interrogé sur le sort fait à cette famille ose ces paroles déplacées : " Je n’ai rien à dire concernant cette histoire. La famille Babel-Andrieux est une famille puissante qui n’a pas arrêté de porter plainte. Les parents sont complètement hors de la réalité. C’est notre système judiciaire qui a décidé du placement des enfants ". On a donc bien compris qu’il avait une dent contre cette famille, on pourrait rajouter que c’est lui, Laurent Moutinot qui a demandé à ce que Mathieu reste dans l’unité psychiatrique.
Le socialiste (décidément) Charles Beer, en responsabilité au Grand Conseil, avait répondu pour l’exécutif genevois que les aînés continuaient à faire l’objet de mesures.
Mesures concrétisées puisqu’aux aurores du 22 août 2013 le SPMi se fait prêter main forte par les services de police afin d’envahir la maison des Babel Andrieux, plaquer la nurse contre le mur et sortir les enfants de leur lit. Thomas, 12 ans, Raphaël, 11 ans, Aurélien, 8 ans, sont pris et reclus aux foyers Pierre Grise et Sous Balme à Genthod.
Jusqu'où iront-ils?
La réclusion est terrible, le petit Thomas ne sort plus de son lit, ne s’alimente presque pas, refuse le contact avec les autres enfants. Il semble souffrir d’un syndrome post traumatique, prostré dans un refus très compréhensible de l’immonde séparation qu’il subit. Souffrant de maux de jambes chroniques, Thomas est "soigné" aux antidépresseurs, sa vie est clairement en danger.
Face à cette situation, la juge Emmanuelle de Montauzon enfonce le clou et décide de restreindre l’autorité parentale car Nathalie et Serge Babel Andrieux : " s’opposent de manière récurrente à toutes les démarches entreprises en faveur de leurs enfants ".
En conséquence une plainte est déposée par les parents auprès de la Cour Européenne des droits de l’homme pour non-assistance à personnes en danger, il serait incompréhensible qu’une telle plainte n’aboutisse pas tant la responsabilité des institutions étatiques dans le saccage de la vie de cette famille est flagrant.
Ils en parlent aussi :
http://www.kiombo.com/pmes/pdf/droit_de_garde_illustre.pdf
http://kiombo.com/pmes/pdf/spmi_L_escalade.pdf
http://blogs.mediapart.fr/blog/william-abenhaim/221013/le-cauchemar-dune-famille
http://henridamien.blogspot.fr/2013/10/pour-le-bien.html
http://guillaumeleroy.blogspot.fr/2013/03/le-service-de-protection-des-mineurs_1.html
http://www.rtsforum.ch/tp/thread-400988-article-illustre
CEDIF
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Carole – Artiste peintre :
Ces mesures illégales contre les familles, les enfants, sous la foi de dénonciations calomnieuses, ou sous la foi de francmaçons violents et criminels (mais riches), mesures d’une violence inouie pour de très jeunes enfants, sont également monnaie courantes en France. Les juges s’en rendent complices, les services prétendus « orientation éducative » servent à couvrir les pires exactions, sans que l’on puisse jamais aboutir en Justice. Des procureurs aux ordres, des juges et des vices présidents tournants, des avocats, au service de certains membres de la maçonnerie, couvrent, falsifient, truquent les témoignages d’un bout à l’autre de l’affaire. Des psychiatres, des pseudos psychologues oeuvrent dans des cités et utilisent les enfants pauvres à un niveau industriel (ça rapporte beaucoup d’argent), se font complices, non seulement d’un système criminel visant à enlever des enfants, à détruire les familles (les poussant à une ruine totale quand ils ont les moyens intellectuels pour contrer la cabale par des frais de justice si élevés, et durant tant d’années, qu’ils baissent les bras au bout de cinq ou six ans). Des juges et des magistrats, sans compter les avocats infiltrés, sont complices de ce système, qui n’a d’autre objectif que de détruire les familles, la seule protection de l’enfant contre un système de pédophilie, de prostitution des enfants, d’objets de commerce dans des institutions d’état et de familles d’accueil (déjà très riches) qui se gavent sur des enfants enlevés et placés illégalement. Ces enfants sont, quand ils s’en sortent vivants, traumatisés à vie, suicidaires ou dépressifs (ça fait marcher le système des psycho en tous genres, et des sectes de bas étage, sans compter qu’ils sont les premières victimes des pédophiles, et des trafiquants de drogues, et en tout cas perdus pour réussir leur vie ou faire des études. C’est un système de destruction des familles de masse, aux fins de faire vivre le commerce d’une élite, généralement issue des réseaux francmaçonniques, élites dont l’immoralité et la corruption ne se cache même plus et qui constitue la honte de nos démocraties. Le mariage pour tous est la dernière illustration, voire même le préambule de la destruction, puisqu’il institue en fait le détournement légalisé de la filiation légitime (avec détournement d’héritage), puisqu’il institue l’esclavage des femmes dont on volera les ovules, de gré… ou de force dans l’avenir, et qui ne seront que des poules pondeuses pour riches, (les concubines n’ont évidemment aucun droit – voir le système greco-romain du système de la matrone – voir un livre appelé sexe et effroi), dont on se débarrasse après usage, puisqu’il instaure, par la sodomie et l’humiliation l’esclavage de nos fils (pas des leurs bien sûr), sans compter le commerce des enfants, des cellules humaines et du patrimoine génétique humain, et l’ouverture de toutes les expérimentations et abominations que l’on pourra faire sur les enfants achetés dont on ne pourra contrôler le devenir et l’usage (puisque ces enfants sont achetés et esclaves de leur maîtres, sans généalogie, sans histoire, sans origine définie, et donc aucun pouvoir de demander de l’aide ou de réclamer le droit de sa filiation légitime, et qu’en plus, il ne leur est donné aucun recours contre les Etats qui auront instauré la loi sodomite.
Au bout de six ans, ils n’ont pas réussi à toucher à ma fille, qu’en Saône et loire, ni à rennes, ville où j’ai dû me réfugier pour protéger ma fille en perdant tous mes biens, ils n’ont pu kidnapper pour la soumettre à la torture et à la soumission. (sous la présidence de Montebourg, à la tête du conseil général de saone et loire de l’époque (enquêter sur les activités du centre d’orientation éducative de Mâcon/sur des éducateurs ou autres : christine huguenin, hélène truc, blandine fillon, ginette loussel, isabelle durnerin (substitut du procureur, procureur coste, et la nouvelle venue d’alsace dans la justice maconnaise), mais moi, femme défigurée, violentée, escroquée par un francmaçon de haut vol, dont la famille s’introduit dans le conseil de la résistance, et dont les membres dirigent aujourd’hui le musée de la résistance avec usurpation de titres immérités (du type « résistant de », ou « fils de résistants » de, ou prochainement s’infiltrer dans l’information et la propagande par le biais d’une radio (voir et enquêter sur la famille vallade de saint martin d’hères), et sur la famille Helfer dans les beaux quartiers de la rue condorcet à paris).
Je souhaite témoigner, car ce qu’il se passe en France est si horrible, sur l’agression des femmes et des mères de famille (notamment celles qui sont seules, et sans protection, et acoquinées pour leur malheur à un francmaçon, sur l’agression des enfants, et leur destruction mentale par le biais de ruses administratives, telles des mesures éducatives, prononcées de façons illégales et arbitraires, et sans motif crédible, qui accusent les victimes de violence, et qui honorent les auteurs de la violence et des coups, qu’il faut que tous nous témoignons. Il faut refuser l’horreur et l’abomination que les sectes maçonniques nous ont préparé par l’écriture d’un programme de propagande homosexuelle (la première étape pour provoquer la guerre civile, de tous, contre tous, par le crime et la destruction devenue nécessaire pour obtenir justice, pour s’adonner à l’épuration moderne, où les homosexuels issus de loges, et devenus très riches grâce à cette mafia, pourront constituer le nouveau peuple élu par l’achat d’enfants fabriqués pour leur usage (ou expérimentations scientifiques à la manière du dr Mengele.
J’ai besoin d’aide. Il faut alerter. Je vais sans doute mourir de tous les coups que j’ai reçus, de la chasse à l’homme dont j’ai été la victime (noms cités dans cet article), et je ne voudrai pas mourir sans que justice soit faite, celle qui est supérieure à la justice corrompue de mon pays.
Qui veut m’entendre m’écrive.