Expertises bidons : après Périgueux, Rennes !
Commentaires
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Mille mercis pour cet article et les contacts de fin, très utiles.
Tout à fait dans un autre ordre d'idée, j'ai remarqué que les adresses cedif étaient au format http, y aurait t il moyen qu'elles passent en https ? -
Lorsqu'il s'agit de réseaux où des notables locaux sont impliqués,
de hauts fonctionnaires
magistrat juge enfant et préfet procureur de chaque département en France
et conseil général
Les élections sont passés à présent cela va aller de pire en pire
Sujet : Plainte
Vous n'avez en tant que victime d'abus AUCUNE chance d'obtenir autre chose qu'un classement sans suite de votre plainte, puis un non lieu si vous vous constituez partie civile.
Les avocats véreux locaux qui sont bien évidemment tous au courant de l'existence de ce réseau ne prendront pas votre affaire et vous ne trouverez personne pour vous défendre sérieusement:
Quel avocat voudrait mettre sa carrière en jeu en attaquant un parent abuseur qui a des relations avec des notables dans sa ville?
Ainsi il y a des procédures "d'instruction" où ni les enfants victimes, ni leur parent protecteur ni le parent abuseur ne sont entendus une seule fois
Aucune enquête n'est faite, et aucun des certificats médicaux, des signalements, ni aucune des nombreuses expertises judiciaires psychologiques constatant les syndromes posttraumatiques des enfants suite aux abus sexuels qu'ils ont subis, ne sont pris au sérieux par le juge "d'instruction".
Ces certificats ou expertises ne seront même pas mentionnés dans l'ordonnance de non lieu ou - pire encore - seront ridiculisés..
Et ceci sous le prétexte bien connu que les enfants auraient été manipulés par le parent protecteur.
C'est toujours la même histoire -
et c'est même ainsi lorsqu'il s'agit d'une affaire internationale et qu'un parquet d'un autre Etat européen a demandé à la France de poursuivre l'enquête contre un parent français présumé pédo-criminel et que le parquet de cet autre état a transmis le dossier volumineux au parquet d'une ville moyenne française où sévit un réseau...
Et tout cela est classé sans suite sans enquête (suivi d'un "non-lieu à poursuivre") malgré le non-lieu déjà prononcé préalablement dans le premier pays en faveur du parent protecteur que l'abuseur avait immédiatement accusé de "dénonciation calomnieuse" dés que le parent protecteur avait déposé sa plainte contre l'abuseur et contre ses complices pour viols, abus sexuels aggravés et production de photos et de vidéos pédo-criminels de ses propres enfants.
Ainsi, le parquet français - qui n'a plus pu punir le parent protecteur pour dénonciation calomnieuse comme cela se fait régulièrement dans des cas similaires - ne s'est pas privé pour autant d'accuser quand même le parent protecteur d'avoir tout simplement menti et d'avoir manipulé les enfants.
Le parent protecteur se voit donc diffamé de façon tout à fait scandaleuse dans le non-lieu prononcé par le parquet français protégeant l'abuseur - et l'abuseur est ainsi innocenté et se frotte les mains....
l semblerait que cela est de nos jours un scénario tout à fait "classique" et habituel en France.
En fait, les seuls
pédo -criminels qui sont reconnus coupables et dont on parle largement dans la presse sont ceux qui n'appartienne à aucun réseau....
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2015/03/28/31788427.html#comments
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