Education et totalitarisme (deuxième partie)
Commentaires
-
Tout à fait vrai.
La famille est visé et on sait par qui.
Ligue de l'enseignement, FOL et j'ajoute même les planings familiaux veulent suplanter les parents. il ne faut pas se laisser faire, je suis prèt à aider -
"éduquer « C’est situer l’enfant dans son histoire familiale singulière – filiation - et dans une histoire sociale collective – inscription comme être acteur social. L’éducation ne saurait se limiter aux dimensions d’instruction. Elle est intimement liée aux modèles sociaux..."
On pourrait presque souscrire à cela, si 1/ l'école ne se mêlait pas sans cesse de vouloir intervenir dans la sphère de l'éducation au sein de la famille, et 2/ si elle s'attelait, comme cela devrait être le cas, et comme elle ne le fait plus, à instruire les élèves de ladite "histoire sociale collective"...
Car c'est l'apprentissage de la culture, qui doit former nos enfants, pas l'école, qui doit n'en rester que le vecteur. -
En fait Kiwala, concevoir l'enfant comme un acteur social et l'éducation comme liée aux modèles sociaux relève de ce que l'on peut appeler une démarche holistique en sociologie.
Cela veut dire que l'enfant n'y est pas considéré comme un individu mais comme un élément de la société déterminé par des d'autres "acteurs sociaux" en dehors de la famille. La famille n'y a d'ailleurs pas un statut particulier dans une telle démarche. Elle n'est qu'un acteur social parmi d'autres, comme les groupes de pairs, l'école, les éducateurs sociaux.
Une vision qui amène à légitimer la relativisation du rôle des familles et donc à mettre à mort le principe de subsidiarité.
Ajouter un commentaire