Appel du collectif "Resistance des parents Responsables" (REPARE)
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Mme Valérie MOUKAGA
1, Rue René BOIN
Appt. 65 (11è étage, droite)
93240 STAINS
FRANCE
Portable : 06 27 94 69 29
Je viens de prendre connaissance de votre appel qui ne peut que m'intéresser car mon fils Yohan et moi-même vivons le même cauchemar depuis 2006.
Mon cas est si grave que je dois absolument en découdre avec ce système. J'ai laissé deux témoignages sur le site du CEDIF : le premier, aujourd'hui, à la rubrique "CONTACT" ; le deuxième, hier, à la rubrique "suspectés", qui a aussitôt été publié; mais celui déposé à la rubrique "Contact" est plus complet, donc plus compréhensible.
Je vous saurais gré de bien vouloir lire au moins celui d'aujourd'hui (rubrique "Contact", non publié pour l'instant) pour vous faire une meilleure idée de la gravité de la situation actuelle de Yohan, et par voie de conséquence, celle de chacun des membres de ma famille désormais isolée et traquée par tout le système de protection de l'enfance car Yohan et moi avons fini par porter plainte contre tout ce beau monde : Plainte actuellement bloquée par la juridiction contre laquelle nous avons porté plainte ; elle a réussi à récupérer notre plainte en la réclamant au Procureur de Meaux (où la plainte a été initialement déposée en novembre 2011, car les faits se sont déroulés sur ce territoire de Seine-et-marne, où Yohan était alors placé par la juridiction de Bobigny-dépt. 93).
Mon fils (19 ans depuis mars dernier) est de nouveau otage de ses bourreaux depuis le 06 juin dernier, date à laquelle il n'est pas rentré du lycée Suger de Saint-Denis alors qu'il passait en classe de terminale et s'apprêtait à passer son Bac de Français. En complicité avec ce lycée, une de mes voisines et amie de toujours (Madame Francine Moreau, dont le petit-fils -Jérémy Noël- est un grand ami de Yohan, et que j'ai souvent hébergé gratuitement chez moi sans contrepartie, l'aidant à traverser et à dépasser positivement chacune de ses crises d'adolescence) et Madame Ghislaine Urbanik (la mère d'un autre ami de Yohan, rencontré sur son lieu de placement à Juilly-77, où Yohan allait parfois dormir quand il avait ses cours de danse à Juilly).
Ne voyant pas mon fils rentrer le 06 juin dernier et n'arrivant pas à le joindre sur son portable, et encore moins à joindre ses amis de toujours, vu la persistance des maltraitances institutionnelles à l'encontre de Yohan même après son retour au domicile familial (maltraitances émanant de l'ASE de Stains qui oeuvrait via le lycée Suger), j'ai tout de suite compris que ces derniers l'avaient encore enlevés en prévision du procès... Mais, à force de SMS adressés à Yohan, j'ai fini par obtenir un message de sa part stipulant ceci : "maman, je ne suis pas parti contre toi. Mais j'ai passé une très mauvaise journée et je veux juste me changer les idées chez Damien. T'inquiète pas pour mon Bac, je travaille ici et j'irai le passer..."
Ne sachant pas que j'avais reçu ce SMS de la part de Yohan, sûre et certaine que mon cas était cette fois-ci définitivement réglé et que jamais je ne pourrais gagner le procès attendu car Yohan était désormais en leurs mains (sous la couverture de la mère de son ami Damien Urbanik), ma voisine et amie de toujours n'a pas hésité à me sortir toute la vérité du complot qu'elle avait monté avec la complicité du Maire de Stains (Monsieur Michel Beaumale), du lycée Suger et de Madame Urbanik, allant jusqu'à m'annoncer que je ne reverrai plus jamais mon fils, qui refusait désormais d'avoir le moindre contact avec sa famille!!!
J'ai remercié Dieu pour ces révélations et pour le SMS de mon fils et me suis aussitôt mise à prier de plus belle... Peu à peu, Yohan a fini par revenir nous voir assez souvent tout l'Eté et encore il y a deux semaines... Mais il est clairement sous influence, sauf que l'annonce faite à la partie adverse quant à la possession de ce SMS, a brisé tous leurs pièges, prières aidant.
Car l'ASE espérait se dédouaner des graves maltraitances infligées à Yohan durant toute la période de placement (persécutions l'ayant conduit à deux tentatives de suicide, alors qu'il était sous placement, la seconde tentative ayant nécessité 9 jours d'hospitalisation : j'ai pu me procurer miraculeusement le compte-rendu de cette hospitalisation avec tous les détails accablant la partie adverse) en le retournant contre moi (de façon indirecte, par l'entremise de ma voisine et de Madame Urbanik, en qui nous avions confiance mon fils et moi).
Depuis, Yohan traine chez les Urbanik ; sorti du système scolaire sans diplôme ni qualification alors qu'il passait en classe de terminale : on essaye désormais de lui faire dire et penser qu'il est personnellement responsable de cette situation, qu'il n'a jamais aimé l'école ni de longues études, ce qu'il m'est très facile de réfuter en justice, preuves à l'appui...
Nous attendons l'ouverture d'une information judiciaire mais la partie adverse est bloquée sur tous les plans, comme je l'explique dans les deux témoignages précités, notamment celui déposé aujourd'hui dans la rubrique "Contact" du site de CEDIF.
Voilà l'histoire de ma famille, histoire désormais banale en France...
Le système Français de la Protection Sociale de l'Enfance a tout bloqué dans notre pays pour ne pas avoir à répondre de ses crimes, même les bureaux de Poste sont désormais complices...
Si vous trouvez pour nous un Avocat courageux, nous vous en remercions par avance, car le dossier déposé près le Procureur est imparable! Peut-être est-il possible de se faire aider par des Conseils étrangers œuvrant dans des ONG plus libres qu'en France?
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