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Abus et impunité

Marteau socialEn France le plus gros maltraitant c’est l’ASE (l’aide social à l’enfance). Un enfant placé, c’est un bracelet électronique pour neutraliser un citoyen gênant ou rendre une famille donatrice de chair humaine. Ces "professionnels" de l’enfance sont imbus de leur position car ils savent que quoiqu’il en soit le juge d’affaires familiales (JAF) ou des enfants (JE) va entériner leur avis au détriment des parents, mais surtout des enfants.

Dégoulinant de "bientraitance", les éducateurs/rices ne font aucun effort d’approche transversale puisque les juges n’écoutent qu’eux ! Aucun recul, ceux-ci transforment votre enfant en "budget de fonctionnement" - une famille dans la précarité coûte par mois, avec le RSA, près de 600€, 820€ avec un enfant, tandis qu’un enfant placé rapporte 6/7 000€ par mois aux services sociaux (les SS). Et quand on sait que les agences privées de placement fleurissent, et quand on sait également qu’un enfant leur rapporte 35 000€ par placement, il n’y a pas de raisons de s’en passer, tout le monde aura sa part.

Les services sociaux ont souvent des qualifications très relatives en matière de psychologie et de psychologie enfantine encore plus. Et pourtant la justice leur confie à eux seuls l’exécution d’une mesure d’assistance éducative pour 1 an… Confier le destin des autres à une seule personne subjective, faillible, corruptible est très dangereux, nous le savons de par l’histoire. Mais les intérêts financiers en jeu sont énormes et en France personne ne pense remettre les choses à plat dans ce domaine, et c’est dommage et triste car cela coûte énormément à la société.

Les SS connaissent les failles du système judiciaire et les exploitent à leur propre convenance. Il est outrageant d’avoir autant abus de pouvoirs sur une question qui a tellement d’incidence sur la vie d’humains et d’enfants. Et c’est grave, très grave.

Les travailleurs sociaux sont juges et parti pris. Ils sont pour l’enfant à la fois les décideurs du placement, de son bien-fondé et de sa perduration "ad vitam æternam" et les juges qui le qualifie d'instable, ou d’hyperactif, ou sans repaire justifiant ainsi son placement ou sa reconduction. Pour les parents ils sont les juges qui les qualifient de négligents voire maltraitants, qui décident que leur relation avec leur enfant est nocive pour lui.

Le parent qui ose manifester sa réprobation sera souvent qualifié par les travailleurs sociaux comme étant atteint d’un "délire de persécution" car Il les dérange dans leurs toutes puissances sur l’enfant. Cet "abus de faiblesse" est adoubé par une expertise psychiatrique de 10/15 minutes sur un parent en grande souffrance parce qu’on lui a pris son enfant sur des allégations mensongères, sur de l’injustice sociétale.

Les abus des SS plonge leurs victimes dans un combat qui est difficile. Pour achever de s’en convaincre il suffit de comparer cette institution avec une autre: la Police. Dans la police il existe un service qui se charge de faire le ménage dans ses propres rangs. Il s’agit de l’Inspection Générale des Services, (IGS), plus connu sous l’appellation de police des polices. L’actualité récente à travers les affaires de Lyon ou de Marseille nous montre l’efficacité de l’IGS qui concourent maintenir une déontologie à faire de la police une institution au service de la population.

Du côté des services sociaux, il n’y a hélas pas d’équivalent. Il n’y a personne vers qui se retourner et qui va engager une enquête interne. Le seul recours est la justice qui malheureusement travaille trop souvent de concert avec les services sociaux (cf. l’affaire Outreau). Il est donc primordial d’éviter le plus possible d’avoir à faire aux SS.

Mais qui se cachent derrière ce terme générique de services sociaux - SS ? Les personnes, dont il faudra se méfier, se présenterons derrière une fonction contenant le terme social tel que les travailleurs sociaux, les assistantes sociales, les éducateurs, les membres d’associations mandatés par le Juge des enfants pour faire des Aides Educatives en Milieu Ouvert (AEMO rebaptisée Aide Educatives à Domicile - AED). Il conviendra de se méfier également des organismes qui se proposent de vous aider gratuitement sans contrepartie. Cela inclut notamment les Centre Médico-Psycho-Pédagogique (CMPP) ou les services sociaux présents dans les écoles.

Le tableau vous paraît-il exagéré ? Une recherche sur le web (la presse écrite évite les sujets qui fâchent le "politiquement correct") ne suffit-elle pas à justifier cette méfiance ? Ce qu’il y a sur internet n’est que la partie visible de l’iceberg du scandale des abus des SS. En effet le témoignage est entravé par de nombreuses contraintes comme le secret professionnel qui empêche la publicité systématique des affaires. Il y a aussi la honte du regard culpabilisant de la société qui dissuade les parents ayant à faire aux SS de parler de leur mésaventure. Il y a les faiblesses (économique, culturelle) des populations concernées qui ne leur permet pas de s’exprimer et de s’orienter dans un combat difficile contre le pot de fer.

Ceci étant, peut-on réellement éviter tous les acteurs des services sociaux pour éloigner toute menace d’abus ? Qui peut vraiment le faire. Une élite fortunée peut-être ? La vraie solution face aux abus et l’impunité des SS serait de réformer le système en y ajoutant un vrai mécanisme de contrôle et de contrepouvoir. Nous devons nous révolter et dépasser le tabou de l’"Outrage à Magistrat" ! Ils ont suffisamment détruit des vies. En attendant faites passer le message en relayant l’information. Comme le disait Zola : " La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera. "

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