Abus de placement d'enfants

 

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Commentaires (40)

1. CEDIF 13/10/2010

N'hésitez pas à nous contacter à nous raconter votre histoire en livrant des faits et des noms. Il nous faut faire comprendre à toutes les familles qu'elles ne sont pas à l'abri et demander des comptes à ceux qui brisent des familles, des individus. Ne croyez pas qu'il s'agisse du combat du pot de terre contre le pot de fer, le CEDIF a une vocation offensive à travers une prise de conscience des saloperies qui se commettent au nom du sévice public. Notre site est disponible pour vos témoignages.

2. belmahdi 22/01/2011

on m'a pris mes 7 enfants kidnappés par une assistante sociale incompétante,menteuse,et manipulatrice.Elle a poussé ma femme a porté plainte pour violence conjuguale.J'ai eu le droit a une garde a vue de 22 heures,qui n'a conclue a aucune poursuite a mon encontre.Cela s'est passé le 20/01/2011.A ce jour je ne sais meme pas ou sont mes 7 enfants.Il n'y a rien qui m'interdit de les voir,et pourtant je suis seule face a mon desespoir.Cette assistante sociale travaille au conseil géneral du nord a tourcoing 59200.A L'AIDE.

3. CEDIF 23/01/2011

Vous pouvez nous donner des renseignements supplémentaires à collet.xavier@aliceadsl.fr

4. LACOUR 04/06/2011

Bonjour,

Nous avons découvert votre site et nous sommes vraiment étonnés de savoir que des histoires comme la notre puisse exister en FRANCE de nos jours.

Nous n’avons plus confiance dans la JUSTICE de notre pays et nous sommes tristes de constater que notre cas, n’est pas un cas isolé.
A cours de patience, nous avons décidé de médiatiser notre histoire - nous ne savons pas comment conjurer le sort et nous espérons qu’en sollicitant votre “site” notre histoire contribuera à attirer l’intention des autorités compétentes et bien-sûr nous espérons que quelqu’un puisse nous aider d’une façon ou d’ une autre.

Notre histoire a commencé, il y a exactement 8 ans - juste après la naissance de notre second enfant Brice. Notre enfant était né avec un “petit problème bénin” _ On nous a expliqué que ce n’était pas grave et que çà allait s’arranger. Même la puéricultrice qui passait régulièrement ne sait pas inquiété de son état et nous a toujours rassuré.

Notre enfant ne cessant de pleurer, nous l’avons emmené un jour aux URGENCES pédiatriques. Les médecins l’ont gardé cette fois-ci ‘sous observation’.
A moitié rassurés, nous sommes rentrés chez nous inquiets tout de même - ce n’était pas notre premier enfant et on a toujours pressenti quelque chose d’anormal. Quelle ne fût pas notre surprise de recevoir une convocation d’urgence de la police suite à une plainte de l’hôpital. Après une “garde à vue” corsée - ma femme a craqué en se laissant accuser. Par la suite elle a bien essayé de revenir sur ses aveux sans y parvenir - il fallait absolument un coupable à la justice.

Quel ne fût pas notre choc de nous trouver accusés de violences sur notre bébé !



Le plus troublant dans l’histoire c’est qu’il n’y avait aucune trace de violences, ni d’hématomes. Mais les spécialistes ne pouvaient pas se tromper et on n’a pas pris en compte ses visites, pourtant notées sur son carnet de santé, aux urgences.


Notre enfant a été placé et nous avons beaucoup soufferts de cette séparation et surtout de ces accusations injustes à notre égard. Ma femme a dût suivre une “thérapie” psychologique qu’on lui a imposé.

Notre aîné à peine plus âgé, ne nous a pas été enlevé mais on nous a imposé une AEMO. Et aujourd’hui nous avons l’impression que les institutions sensées nous aider - nous ont plus coulés qu’autre chose. Aujourd’hui après 4 ans On nous fait subir un chantage “psychologique” dans le but de nous soustraire notre “Jeremie”.

Il y a 8 ans, nous avons subit le même traitement ‘moral’, c-à-d après 4 ans d’angoisses et d’humiliations, la justice a rendu son verdict. Reconduisant les mêmes dispositions, à savoir maintient du placement de Brice et continuant à nous faire confiance pour Jérémie. La mesure AEMO aurait dû être levée quelques temps après.

Hélas, sous les conseils “avisés” d’une éducatrice- ma femme m’a quitté en plaçant notre enfant dans un foyer en attendant de pouvoir le récupérer. A l’époque notre couple, suite à des frustrations continues et incessantes dans tous les domaines, battait de l’aile.

Le problème aujourd’ hui, c’est malgré notre réconciliation et notre mariage, nous n’arrivons pas à récupérer notre enfant. Chaque jour, ces institutions nous trouvent des “défaillances”, ils continuent à nous reprocher leurs propres fautes pour couvrir leur incompétence criarde mais personne ne veut nous écouter et les avocats ne sont pas trop motivés, il nous semble. Voici (ci-joint) la teneur de la lettre que nous avons adressé à la Cour d’Appel et nous attendons toujours une réponse.

Il faut dire qu’au fil des ans (4 ans), de contradictions en contradictions - on nous traîne dans la boue et on nous traite comme des moins que rien. Résultat NOTRE FILS EST CONSIDÉRÉ COMME UN Attardé MENTAL.

Suit la lettre que nous avions adressée pour résumer notre calvaire ….

“ Madame, Monsieur,
Il nous semble nécessaire de préciser, vu la valse des juges (5) et les conclusions du jugement rendu, que notre fils a été placé à la demande de la maman et non suite à une décision judiciaire comme la teneur du jugement laisse entendre. D’ailleurs, il nous a été signalé qu’une erreur dans ce sens a été faite par M° le juge Toulier et qu’elle allait être réparée. Nous pensons aujourd’hui qu’il en est rien et que c’est grave puisque cela a généré un climat hostile qui n’en fini pas de se dégrader avec les services de la protection de l’enfance.

Il est nécessaire, nous insistons, de préciser que Jérémie et Brice n’ont vécu ensemble que 5 semaines et donc la violence évoquée est caduque à moins qu’on mette en cause le jugement des autorités compétentes qui n’ont jamais estimé notre enfant en danger. Nous avons fait suivre notre fils, de notre propre initiative, par un psy spécialisé dés que son âge l’a permit justement alertés par son hyperactivité _ fléau des temps modernes.

Nous venons aussi, par cette contestation, attirer votre attention sur le fait que le ‘diagnostic’ a été posé avant même que le psychiatre nous ai psychanalysé. En effet les mesures prises coïncident étrangement avec nos contestations. Nous nous ne sommes pas loin de la maltraitance institutionnelle. Dés le début de ce placement on s’est appliqué à couper le lien ‘ombilical ‘ avec notre fils en raréfiant nos droits de visite s’opposant à tout rapprochement constructif. A croire que nous sommes indignes de notre enfant. Nous accusons ses éducateurs d’outrepasser leur domaine de compétence.

A notre grand soulagement, après quelques mois de placement, on avait détecté enfin un problème auditif grave chez Jérémie qui à lui seul, à notre humble avis, était susceptible d’expliquer son comportement. Mais on s’acharne à soutenir malgré tout, dans des conditions psychologiques déplorables, pour nous et surtout pour notre fils, qu’il est ‘’défaillant’’. Il est important de souligner que le progrès évoqué est très récent et lié directement à l’âge de notre fils qui a mûri depuis et qui a fini par accepter ses nouveaux repères au contact d’autres enfants qui partagent son malheureux sort. Notre meilleur argument est son retard scolaire déplorable et inacceptable vu les capacités de notre enfant. Notre fils a qui on n’a pas demandé son avis, comme la charte des droits de l’enfant le stipule, est toujours désireux de rentrer à la maison. Nous voulons que notre fils via une AEMO (Assistance éducatif en milieu ouvert) soit toujours suivi, puisque les spécialistes s’en inquiète, mais qu’il rentre à la maison. Autant que parents, il nous incombe de contribuer à son épanouissement et à son éducation.

Notre histoire familiale étant ce quelle est, il est regrettable que les pièces versées au dossier soient incomplètes et basées juste sur des risques potentiels ou des suspicions, déclenchés sur de simples dénonciations calomnieuses par des intervenants extérieurs justement. Une rumeur a été lancée par le psy de l’institution à notre encontre via ‘les marmousets’ faisant état de violences au sein de notre foyer. D’ailleurs on a déposé plainte contre la psy qui nous espérons – va aboutir un jour.

On nous a complaisamment invités à contrer la rumeur en acceptant une psychanalyse de couple que nous avons naïvement acceptée.
Inutile de vous rappeler que cette dernière est incomplète puisque elle doit être complétée par celle de notre fils.

Il est regrettable qu’on mette l’action sur nos « défaillances » psychiques respectives sans faire allusion à notre déménagement de Lyon pour nos enfants et afin de nous reconstruire. Nous nous sommes même mariés pour affiner notre relation. Nous sommes les mieux placés, vu nos carences affectives, pour savoir ce qu’un enfant doit grandir au sein de sa famille et cela est l’essence même de la charte européenne de l’enfant qui préconise la chose.

Nous pensons être lésés de nos droits les plus élémentaires et que cela même est à l’origine de tous ces malentendus et surtout de tous ces mal interprétations qu’on ‘’ déterre’’ au fur et à mesure que le temps passe et que notre angoisse s’amplifie.

Merci de reconsidérer ce jugement, nous restons malgré tout confiants dans la justice de notre pays. “

…......

Que faire contre cette MALÉDICTION qui nous colle à la peau. Il est tout de même extraordinaire qu’ à présent _ On a réussi, on ne sait pas comment et par quel ARTIFICE à relier les 2 dossiers complètement distincts. On se sert du dossier de Brice pour nous faire des reproches et surtout pour justifier LE RAPT.

A leur dire notre enfant est INGÉRABLE et ne peut fonctionner dans une école normale, nous disons le contraire. Notre enfant est un OTAGE de l’incompétence et de l’incrédulité de gens qui outrepassent le domaine de leur compétence. Pourquoi nous convoquer à chaque fois pour soit- disant faire le point. Tout ce qu’on entend c’est des reproches, à notre égard et à l’égard de Jeremie, qui n’ont aucune raison d’être. On nous reproche le COMPORTEMENT de notre fils qui ne vit même pas chez nous sans qu’on remette en cause le FOYER et la mauvaise INFLUENCE de son entourage immédiat et quotidien.
Nous avons aussi remarqué qu’on tire les vers du “nez” du petit et qu’on lui fait dire n’importe quoi et ce n’est même pas sure qu’il dise quoi que soit.

Pourquoi des “éducateurs” n’ont rien d’un éducateur qui se respecte ?

Notre enfant se plaint de se faire taper dessus par une éducatrice - On a beau le signaler pour faire cesser cette maltraitance répréhensible par la LOI pourtant.
Notre enfant continu à se plaindre de cet abus. Nous avons jamais eu droit de regard sur quoi que soit concernant toutes décisions importantes dans la vie de notre enfant. Nous n’avons jamais eu le droit de le recevoir pendant les vacances, petites ou grandes, ni les fêtes de fin d’années ou autres. Notre enfant est trimbalé Dieu sait où sans qu’on sache quoi que ce soit de l’endroit. A chaque réunion dite d’information – On a le culot de nous rapprocher son comportement et ses ‘déviations’ de langage.

Si bien que les choses n’avancent plus avec ces ‘pseudo- éducateurs’ bien au contraire, ils déterrent nos ‘qualités’ cachées. Nous avons vraiment peur pour notre enfants avec tous ces histoires effroyables sur les ‘abus’ en tous genre sur des ‘innocentes âmes’’. Notre enfant a beaucoup changé et nous savons plus quoi lui dire pour le rassurer !...

Pourquoi ne pas écouter un enfant qui désire rentrer chez lui ?

Nous n’avons jamais eu notre fils pour les fêtes, même Noël- on ne sait plus comment expliquer à notre enfant pourquoi on ne peut pas le “récupérer” _ Nous pensons sincèrement que c’est un ABUS INSTITUTIONNEL qui n’en finit pas...

Pourquoi des juges ne sont pas partiaux dans leur jugement ?

Pour rappel 5 juges en 4 ans qui se documentent sur des ‘rapports’ aux quels on a même pas accès. La justice nous traite comme des coupables sans aucune compassion.

LA DOUBLE PEINE n’a jamais été une peine équitable....

Merci de nous lire et de vous apporter votre soutien moral dans un premier temps et SVP si vous avez des suggestions à nous faire, n’hésitez surtout pas à nous le faire savoir . Vous pouvez peut-être aussi nous indiquer une ligne de conduite ou autres.



Nos coordonnées sont les suivantes ;
M. et Mme LACOUR
1, rue caderat
42140 Chazelles sur Lyon

tel ; 04 77 56 88 04
e-mail ; sandre.lacour@sfr.fr

5. CEDIF 24/06/2011

Bonjour Monsieur Lacour,
Effectivement votre cas n’est pas isolé et découle d’une logique que nous souhaitons expliquer d’où l’existence de notre association.

A travers votre mail, il semble que vous souhaitiez aborder votre affaire en la diffusant sur notre site ou en créant votre site sur lequel nous pourrions faire un lien ?

Un certain nombre de questions sont importantes pour préciser votre affaire :

- quel est précisément le handicap de Brice, ce handicap est-il fréquent et a-t-il généré d’autres situations semblables à la vôtre ?

- la puéricultrice qui vous rassurait a-t-elle témoigné en votre faveur (teneur du témoignage à faire figurer en l’anonymisant) ?

- Quelle fut la teneur de la plainte de l’hôpital et de quoi s’est accusé votre femme ?

- Sous quels motifs Jérémie fut-il placé ? (l’hyper-activité paraît bien insuffisant et la demande de placement de votre femme a été émise dans quel contexte de pression ?)

- Avez-vous déposé des plaintes notamment contre l’éducatrice qui a porté préjudice à votre couple ?

- Avez également déposé une plainte contre l’éducatrice qui bat Jérémie ?

Votre affaire étant particulièrement complexe, il conviendrait aussi de la détailler dans sa chronologie.

Il apparait également, comme souvent, que la stratégie des sévices sociaux a consisté a créer une tension dans votre couple et a pousser votre épouse à une attitude qui lui est aussi reprochée.

En attendant de compléter votre affaire, le premier conseil que je puis vous donner est de vous forger une carapace morale, ne jamais succomber à la dépression ou la déprime, car c’est l’arme de l’ennemi.

6. SIRIEIX 01/07/2011

J'ajouterai que le témoignage de Lacour serait bien accepté par la CEDH, ils ne peuvent "obliger" nos juges français à changer leur décisions mais donnent un avis qui pèse son poids dans nos tribunaux. Je suis d'accord avec xavier, ce "dossier" demande des précisions, mais il me semble arbitraire, comme bien d'autres...

7. Bourdes Henriette 24/08/2012

Placements abusif je suis une jeune fille de 15 ans placer abusivement j'aurais besoin d'aide s'il vous plait.

8. fossier 12/11/2013

je suis maman de 3 enfants et je suis enceinte de mon 4 eme qui et de mon nouveau compagnon.pour en venir a mon histoire
j'ai vecu avec mon ex compagnon pendent 3 ans et demis puis on ses sépare quand on ses séparer j ai appris que j ete enceinte de ma dernier j ai accoucher en juin 2009 ma fille ne le connais qu en tent que pere de ses frère car elle a connu que mon conjoint a ses 1 ans et 3 mois qu elle appel papa mon fils kylian a un tretement depuis environ 10 mois pour son hiperactiviter quand je me suis separer de son pere mon fils na pas suporter la separation mais surtout l'absence de son pere car mr ne donner plus signe de vis suite a sa il y a eu des complication et pour eviter un placement a appler mon ex belle mere pour quel dise a mon ex qu il fallais qu il prenne son fils quelque temps pour me raprocher de mon fils je me suis retrouver a vivre dans une chambre d'hotel que je payer et a demander a la marraine de mon ainee de la prendre en charge le temp que je trouve plus grand cella etait en janvier 2012 en avril a trouver un appart t3 a recuperer mon ainee mais une infermier de pmi a ete dire que mes enfant ete en danger du fait que je n avais pas de logenent je suis passe au juje des enfants avec mon ex la juje a mie une messure aemo pour mon ainee et ma dernier disent que cette pour voire si les enfants ete bien scolariser et si j'ete stabiliser pour mon appartement et pour permetre a non ex de l aider a reprendre contacte avec les deux petit depuis le jujement mr n'est toujour pas venu voir ,prendre ou meme appler les petit l'educatrice lui a proposer des jour de rencontre qu il a refuser du coup j'ai demander la garde definitif des mes trois enfants en donnent et prouvent mes dire la jdf a estimer qu il n'avais plus aucaun droit sur les trois enfants et qu il doit quand meme payer la pention allimentaire ,mais depuis que mon 2 eme et place j'ai deposer 4 plainte contre mon ex pour non representation d'enfants ses avoir de nouvelle et aujourd'hui on me dit que ses pas normal qu il paye une pention allimentaire allore qu il na plus le droit sur les petit, la maitresse de ma fille de 4 ans ma reprocher de ne pas suporter ses remarque du fait que ma fille ne s avais pas ce moucher et je me suis esplique en disent que suite a ses hospitalisation reguliere suite a ses bronckiolite l'hopital ses sere de mouche nez et ses pour cela quel ses pas ce moucher de plus travaillent dans une ecole maternelle je ses que ma fille n'est pas la seul d ailleur il y a des enfant qui sorte de la maternel et qui save pas ce moucher et l'educatrice ma reproche de n'avoir pas noter sur la feuille de renseignement le pere comme je me suis esplique devant elle je ne voix pas a quoi sa change de le marquer vu qu il ne repond pas a son telephonne ni au courrier et qu il ne s occupe pas du tout des deux enfant et elle me reproche de ne pas avoir rencontrer mon conjoint conne je me suis espliquer aussi devant elle je mi aupose pas cepandent ses en foction de ses horaire de boulo et si il na pas d'heur suplementaire on s'acharne sur moi mon fils qui et placer me voix pas conne ses convenu soie 1 3 et 5 eme wickende de chaque moi ses au bon vouloir de mon ex mon fils a dit au foyer qu il voulait revenire a mon domicile mais je ne croix plus en la justice je soufre de cette situation ma grossese et en train d'empatire car je suis au debus de mon 5 eme moi de grossese et a deja des contraction on ma demander de me reposer et deviter tout stress mais mes enfants souffre enormement de ne pas vivre ensemble et mon 2 eme qui et place ne suporte plus il fait des collere des que je le ramene au foyer

svp j ai besoin d'aide je ne ses plus quoi faire on me dit que je ne suis pas capable pour l'elever mais je suis capable d'ecuque mes 2 autre enfants elle et ou la logique du juge des enfants

9. visconti 10/06/2015

Bonjour,
Je me présente, je suis maman et j'ai environ quarante ans. J'ai accouché d'un bébé il y a déjà quelques années. Tout s'est très bien passé pendant ma grossesse cependant, lorsque j'ai rencontré cette sage-femme, elle m'a forcé à aller voir un psychiatre suite à mon passé.
Cette psy m'a fait chanté en me disant que je devais aller dans un hôpital universitaire mère-nourrisson car c'est la seule chance de garder mon bébé et pour pouvoir le garder par la suite.
J'étais seule avec mon bébé et c'était mon premier enfant.
J'étais loin de m'imaginer que c'était un piège dont le but était de m'enlever mon bébé pour le mettre dans un foyer puis dans une famille d'accueil.
J'ai effectué une première visite à l'hôpital sans trop savoir où je mettais les pieds. Je l'ai compris quand j'y étais réellement et que je ne pouvais plus sortir sans permission. Les portes fermées à clé, seules les infirmières et le personnel de service détenaient les clés de cet infâme hôpital. Puis, j'ai accouché , je suis retournée sans ma volonté dans cet hôpital maudit. Je ne pouvais plus sortir avec mon bébé que par des sorties en groupe en landau.Les infirmières paraissaient sympathiques mais très hypocrites et méchantes.
Quelquefois, je sortais seule avec des amis qui venaient me rendre visite car je ne pouvais pas sortir avec mon bébé.
Je devais revenir pour le biberon. Puis, j'ai appris à m'occuper de mon bébé, à le rassurer, à le laver et à préparer seule ses biberons.
Les infirmières m'ont même fait croire que j'allais sortir avec mon bébé en le prenant dans ma chambre la nuit mais c'était un leurre.
Puis, on était obligé de prendre un taxi pour se rendre ailleurs, avec d'autres mamans, lui chanter des chansons, c'était obligatoire même si on n'avait pas envie de le faire à chaque fois ils nous obligeaient. Puis, j'ai compris qu'ils avaient réunis plusieurs professionnels pour parler de ma situation et de celle de mon bébé. Ils ont décidé de me voler mon bébé sans mon consentement à aucun moment pour le mettre dans un foyer puis dans une famille d'accueil.
Il devait partir à la fin de la semaine et il est parti même plus tôt. Je me rappellerai toute ma vie ce déchirement. J'ai longuement pleuré et une amie est venue me réconforter malheureusement j'ai appris qu'elle a subi le même sort que le mien.
A présent, mon bébé a grandi sans moi. Je ne vois mon enfant que une à deux heures par semaine en visite médiatisée et traitée de malade. Je n'ai rien fait, je ne l'ai jamais frappé et jamais secoué. Tous les jugements sont truqués comme pour tous les parents d'après les témoignages que j'ai pu lire. Je subis ces femmes mesquines et horribles sinon je ne le vois plus. Je me demande parfois dans quel pays nous vivons pour maltraiter ainsi les enfants et leur parents. Je dis à tous ces parents de continuer à se battre et à résister de toute leur force pour leur enfant martyrisé par le système.

10. Epain gwladys (site web) 10/06/2015

Bonjour Visconti , votre histoire ressemble à peu près à la mienne , n'hésitez pas à citer le nom de la structure qui a kidnappée votre enfant. Sur ce site seuls les noms de personnes sont interdites . Bon courage et merci de témoigner ,c'est ensemble que nous y arriverons.
Gwladys

11. visconti 12/06/2015

Ce sont les hôpitaux U. de Stras

12. visconti 13/06/2015

Vous trouvez ça normal que l'on mette un enfant en présence d'un autre jeune plus grand présentant un retard mental dans une famille d'accueil

13. Epain gwladys (site web) 14/06/2015

Bonjour Visconti,ne cherchez pas à savoir si c'est normal ou pas,l'ASE ne fonctionne pas comme ça ,ils ont un budget a créer et à pérenniser , le CEDIF explique ça mieux que moi. Vous le constatez vous même ils ne reculeront devant aucune infamie pour laisser les choses comme elles sont puisque cela crée une économie de 72000 euros par an et par enfant placé. Est ce normal que votre enfant soit dans une famille d'accueil ou se trouve un enfant handicapé ? Je ne sais pas ,moi cela ne me dérangerai pas dès l'instant ou l'autre enfant n'est pas dangereux ,essayez d'en parler avec la famille d'accueil. Bon courage

14. stane 04/09/2015

bonjour le 16 juin 2015 un juge du tribunal de versailles ansi que l aemo de rambouillet et aussi a la demande de la mere des mes enfants ils ont etais placees dans un foyer moi je etais contre a ce placement et mes enfants ont eux aussi demander au juge de les laisser partire avec moi le papa mais ils as etimer autre chose ansi que l ase ca leurs arrange de donner 6000euros por chaque enfant au foyer moi je suis fonctionaire a la mairie de paris j ai salaire vrais que j ai un petit logement j ai fait une demande de logement mais personne m as aider l unique aide que j ai eux ce me enlever mes enfants et ma vie depuis ce jour je me bat avec ma compagne qui vie en bretagne ou elle as un pavillon et elle peu nous aceuillir a tous les 3 mon fils depuis ce jour la n as plus voulu parler a ca mere il me ecrit des letres em me demandent de le sortir de la avec ca soeur le 13 novembre 2015 je passerais a nouveau devant un juge car j ai fait apel de cette decision abusive de un juge que j ai veut avec un air arrogant et surtout racciste enverr les imigres si ce jour la 13 novembre rien ai fait je suis pret aller au tribunal europeen il faut que la france respecte le droit de l homme et surtout le droit de l enfant chose que elle ne fait pas monsieur dame j ai creer une page pour mes enfants je demande a tous ceux qui sont dans le meme cas que moi reunisons nous tous et faison une manifestations a paris contre ce systeme de merde de la justice francaise et l ase ca ne peu plus continuer de nous voler nous enfants leurs liberte mon mail stane-78190@outlook.fr batez vous a mon cote ne baiser pas les bras il faut que le monde sache la page des mes enfants combat pour recuperer mes enfants martinho et cynthia

15. Warembourg 22/10/2015

Bonjour,
Je suis maman de 3 enfants,mes deux aînés ont été placés pour moi abusivement.
A l'époque j'étais avec le père de ma dernière fille,mes enfants étaient suivi par le service de l'AEMO
les éducatrices qui intervenaient à mon domicile ont lancé le processus de placement,car pour elles j'étais fatigué mentalement,psychologiquement,physiquement ,c'est pour ces raisons que mes enfants ont étaient placés.
Je ne vois pas comment elles ont pue voir tous ceci,a ce que je sache elles ne sont pas psychologues.
Et bien sûre madame le juge pour enfant a crue leur versions des faits et ne m'a pas entendu!!!!!!!
Il faut savoir qu'à l'époque j'étais maltraité psychologiquement .
A l'heure actuelle je ne suis plus avec cette personne,
Maintenant que me sens en sécurité je voudrais récupérer mes enfants.
D'autant plus que je ne les vois que 2h30 par mois en visite libre a mon domicile,chose qui n'est pas suffisant pour mes enfants et moi!!
Mon fils a subis des attouchements de la part du fils de mon ex, il est traumatisé, il ne demande qu'une seule chose , rentrer a la maison avec maman!
Ma fille aînée le souhaité également.
Mais l'ASE ne veut pas .
Mes enfants et moi mêmes ne sommes plus en danger!!
Aidée-moi s'il vous plaît .

16. sireix (site web) 24/10/2015

durant ce temps les parents

enfants sont en vacances scolaires
personne n'est au courant

l

https://comitecedif.wordpress.com/2015/10/09/suivi-medical-des-enfants-places-un-temoignage-effarant/https://comitecedif.wordpress.com/2015/10/09/suivi-medical-des-enfants-places-un-temoignage-effarant/

17. menaceenfantdanger (site web) 24/10/2015

durant ce temps les parents

enfants sont en vacances scolaires
personne n'est au courant

la pieuvre

https://comitecedif.wordpress.com/2015/10/09/suivi-medical-des-enfants-places-un-temoignage-effarant/https://comitecedif.wordpress.com/2015/10/09/suivi-medical-des-enfants-places-un-temoignage-effarant/

18. DelvarreNoëlle (site web) 29/11/2015

L’affaire de viols sur mineurs dans le cadre de la « protection de l’enfance » est loin d’être une première dans tout l’hexagone, mais enfin elle est médiatisée, ne serait-ce que dans la presse régionale, en l’occurrence Ouest France.

Comment s’étonner d’ailleurs que des lieux de promiscuité et d’absence éducative que sont de trop nombreux foyers de l’ASE soient les théâtres d’abus sur mineurs?

Nous ne nous en étonnons pas au CEDIF, puisque nous nous sommes déjà offusqués de la volonté de certains de mettre fin aux centres éducatifs fermés afin de mélanger mineurs délinquants avec leurs victimes potentielles.

Comme dans un moulin, on y entre et on en fugue
Ainsi une nouvelle plainte pour viol a été déposée contre un Nième foyer en l’occurrence le foyer Tournemine d’Angers géré par l’association « Accomplissement Réalisation Projet Éducation Jeune Enfant » (ARPEJE).

Ce qui est reproché à ce foyer, vers lequel sont placés une cinquantaine de jeunes par décision de juges des enfants ou en situation d’urgence, c’est de ne pas avoir été capable d’empêcher la fugue de deux adolescentes âgées de 14 et 15 ans et les conséquences qui en ont résulté, à savoir le fait qu’elles ont été violées.

Si nous devions faire la liste des foyers pour lesquels aucune fugue n’est recensée, il est fort possible que nous ne puissions n’en citer aucun. Les foyers sont un lieu d’où l’on s’échappe facilement avec mise en danger du pensionnaire fugueur et souvent obligation de la famille de le ramener. Dans chacune de ces situations de fugue, nous n’avons cessé au CEDIF de préconiser une plainte pour mise en danger de mineur.

Gérer des jeunes fugueurs n’est certes pas une sinécure pour les foyers. Dans de telles situations, tout simplement pour ne pas s’exposer, pour avoir la paix, les éducateurs préfèrent laisser le jeune dans sa famille même si le placement est d’ordre judiciaire.

Prédateurs et proies sexuelles parmi les mineurs
C’est donc à sa famille qu’une des fugueuses fera la révélation du viol subi lors de la nuit du 27 au 28 mars 2015.

Les faits de viols n’auraient pas été commis par d’autres pensionnaires.

Précisons au passage qu’il n’est même pas indispensable de fuguer pour se faire violer car les deux précédentes affaires de Saint Barthélémy d’Anjou et d’Angers respectivement à l’ITEP

Le Colombier et au foyer pour pré-adolescents Aladin concernaient des viols collectifs entre mineurs placés.

Il convient donc de contrôler les foyers de l’ASE, non pas par les services internes du conseil départemental comme il l’est fait dans le Maine et Loire et ailleurs, mais pas de véritables inspections externes menées par l’IGAS notamment et sous le contrôle d’associations de protection de l’enfance et des familles.

Il est certain que de telles enquêtes mèneraient à des avancées en responsabilisant ceux qui se continuent à échapper à leurs responsabilités.

Il est effectivement facile de parler de son business en terme de moyens comme le font les syndicats, mais qui écoute la parole des victimes violées sept mois d’affilée sans réaction, que deviennent des plaintes aussi graves que celles qui évoquent des témoignages concordants montrant que des notes laissant suspecter les viols ont été intentionnellement détruites ?

Là encore faute de réponse du procureur, l’avocate de la victime a saisi le juge d’instruction en mettant en cause toute l’équipe « éducative »

De telles démarches doivent être mise davantage en lumière que les piaillements indignes des syndicats de travailleurs sociaux, ces indignes indignés.

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http://dondevamos.canalblog.com/archives/2015/09/30/32708160.htm
Sans compter d’autres affaires mettant en cause des éducateurs pédocriminels.

https://comitecedif.wordpress.com/2015/11/04/viols-en-foyers-pour-mineurs/#comments

site information existence réelle de pedophilie en France et autres pays et régions

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https://comitecedif.wordpress.com/2015/11/04/viols-en-foyers-pour-mineurs/#comments

site information existence réelle de pedophilie en France et autres pays et régions

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19. pedophilieenFranceEtat (site web) 29/11/2015

A chaque fois qu’un politicien pédocriminel
un magistrat _
un éducateur _
un médecin _ un éducteur sportif _ un ami de la famille _ un oncle _ un parent de l'enfant (dit " protecteur " mais en faite pédophile sur ses enfants _ un professeur _ ecole maternelle _ maitre d'école _ où prête _ où Iman _
En france l'omerta les assistantes sociales ne vous aide pas _ mais vous descendent dans votre dos ! et vous dresse contre vos enfants !
l'ASE est mis sur la sellette,

il n’est rapidement plus question que de « rumeurs », finalement il ne se passe rien et les croyants (en l’existence d’un réseau) passent pour des hystériques.

Pourtant, la manière dont ces affaires sont minimisées et les victimes décrédibilisées est tellement caricaturale que cela devrait mettre la puce à l’oreille des citoyens/électeurs.

je ne fais pas confiance en la justice de mon pays

enquêtes sur les réseaux Français et anglais et les toutes les tentatives d’étouffement, quelques enseignants pédophiles, un débat sur l’interdiction d’un film à moitié porno aux moins de 18 ans, beaucoup de pères et beau-pères incestueux, beaucoup d’impunité,

beaucoup d’adeptes de pédopornographie à peine sanctionnés, quelques curés condamnés (ou pas), une expo pédophile à Marseille défendue par la grande presse nationale, des mineures prostituées…

Bref, deux mois normaux dans le paysage anti pédos.

http://www.laviequercynoise.fr/des-meres-privees-de-leur-enfant-mettent-en-cause-la-justice_6202/

http://dondevamos.canalblog.com/archives/2015/09/30/32708160.htm

20. DelvarreNoëlle (site web) 29/11/2015

sur les placements abusifs

Ils n’ont honte de rien !

A lire et à utiliser !
http://www.gouvernement.fr/conseil-des-ministres/2015-08-26/ratification-du-protocole-facultatif-a-la-convention-relativ

Compte rendu du Conseil des ministres du 26 août 2015
Ratification du protocole facultatif à la convention relative aux droits de l’enfant

Le ministre des affaires étrangères et du développement international et la secrétaire d’État chargée de la famille, de l’enfance, des personnes âgées et de l’autonomie ont présenté un projet de loi autorisant la ratification du protocole facultatif à la convention relative aux droits de l’enfant établissant une procédure de présentation de communications.

Ce protocole, signé par la France le 20 novembre 2014 à l’Organisation des Nations-Unies (ONU), instaure une procédure par laquelle une personne s’affirmant victime d’une violation de la convention ou de ses protocoles peut s’adresser au Comité des droits de l’enfant. Cette convention ne disposait pas, jusqu’alors, de mécanisme de recours. Le protocole permettra ainsi aux enfants, ou à leurs représentants, de s’adresser à ce comité international d’experts, une fois les voies de recours nationales épuisées. Ce comité pourra alors transmettre ses constatations, et éventuellement ses recommandations à l’État concerné.

La France reste plus que jamais mobilisée en faveur de la promotion des droits de l’enfant, de la reconnaissance de sa parole, et du respect de son meilleur intérêt. Cet engagement s’inscrit dans la recherche du bien-être de l’enfant et du respect de ses besoins, en cohérence avec la feuille de route 2015-2017 pour la protection de l’enfance, présentée en conseil des ministres le 19 août par la secrétaire d’État chargée de l’enfance.

La ratification de ce protocole fait suite aux engagements du Président de la République. Elle constituera une avancée majeure dans la protection effective des droits de l’enfant.

Le fonctionnement de l’ASE repose sur le fait que les citoyens méconnaissent le droit et que les avocats ont peur de se faire remarquer. La solution est simple, mettre en responsabilité tous les acteurs du système y compris les élus aux fins qu’ils prennent conscience, que nous sommes dans l’arbitraire et dans un système sectaire dont le but est de créer des emplois fictifs. Enlever un enfant, et le confier à un tiers correspond au crime d’enlèvement et au crime de séquestre. Dommage que Jacques VERGES n’est plus là. N’oublions pas cette formule, nul n’est responsable que de son propre fait. Il appartient aux avocats de faire application du code de procédure civile et du droit processuel à condition de regarder le dit code à la loupe, en particulier le droit d’agir et la qualité vraie, qui sont de véritables sujets de thèses …!

/https://comitecedif.wordpress.com/2015/10/09/suivi-medical-des-enfants-places-un-temoignage-effarant/

21. ASEServiceSociauxVioLEntenfantFRANCE (site web) 29/11/2015

Les SS( services sociaux) qui volent les enfants,dans leurs agences d'adoption internationale! e
Suite à un signalement sur des informations préoccupantes qui part au palais de justice dans le bureau du juge qui lui prendra la décision de continuer le placement ou pas...

onnaissez vous le livre de Ginette Braconnier? Son livre s’intitule : Une enfance volée par la DDASS .

Je le recommande vivement il est très bien expliqué,et son histoire fait réfléchir grandement sur le faites qu’il serait bien de mener une enquête sur les personnes qui désirent avoir un agrément d’assistante maternelle et leur mari ,car selon les secrets de famille des uns ou des autres,l’état pourrait en partie faire plus attention à qui ils confient ces enfants placés abusivement..Car depuis des générations,du temps du moyen âge,cette institution se nommais l’Aide à l’enfance délaissé » C’est à cette même époque que l’église faisant office d’Etat,recommandait aux maris de frapper leur femme.A cette même époque celà se nommais » La violence Maritale » C’était fortement recommandé..Bien évidemment,les enfants là dedans qui étaient témoins mais aussi victimes au même titre que leur maman,allaient dehors et c’est à ce moment là qu’entrait en fonction ce qu’on nommais des Meneurs d’enfants ,qu’ils les trouvaient délaissés dans les rues,( suite aux violences conjugales de leurs parents) Ces enfants étaient raptés,par ces meneurs qui bossaient pour l’Eglise ( l’Etat) pour y être ammenés dans une autre région voir un autre pays en vue d’adoptions illégales..Ce système pervers a super bien marché,et personne n’a su quoi dire, ni porter plainte contre l’Eglise .Des parents sont devenus fous de pas pouvoir revoir leurs enfants….En 1964 est né les DDASS,l’Aide sociale à l’enfance,la fameuse propagande de la protection de l’Enfance..Qui n’est qu’en réalité qu’une fumisterie, une publcité mensongère,qui au fil des générations ont mis sous emprise les citoyens et les incitant à confier leurs enfants à l’Assistance Publique devenue par la suite la DDASS..Cette forme qu’à les DDASS d’inciter le ou les parents à confier ses enfants à cette institution se nomme en réalité être ce qu’on nomme » Un abandon en trompe l’oeil…Car même si c’est en attente de jours meilleurs, les intervenants sociaux d’aujourd’hui ne savent que réitéré le passé( au présent ) trop bien rodé ,à leur avantage, s’inspirant de l’histoire de Jean-Jacques Rousseau,qui lui a Abandonné ses 6 enfants à la DDASS ……PUISQUE C ETAIT L USAGE DU PAYS,, on peut le suivre disait il ..voyez vous jusqu’à va la perversité humaine ,et tout ça au nom de la Protection de l’Enfance…En faites,ce que cette institution protège,ce ne sont pas des enfants maltraités ,car même s ils ne savent que de nous rabacher les mêmes phrases sur la parole de l’enfant,il n’est point écouté,mais rabaissé,manipulé,violenté sous toutes formes qu’il soit puisque la devise de la Protection de l’Enfance est ; L’enfant peut bien supporter ça… » Donc pendant que l’Enfant supporte toutes ses violences,ça permets à cette institution de rentabiliser tous les enfants placés abusivement sous sa tutelle,et ainsi ramasser le pactol…Sur la souffrance de l’enfant,car ça semble être jouissifs pour eux,qui n’en n’ont que faire..A part de leur porte monnais..Donc l’institution de la protection de l’Enfance n’est ni plus ni moins qu’un réseau très bien organisé Pour protéger ses Enfants qui leur rapportent un max de fric pour faire de la traite d’être humains ..L’idée de l’époque de venir en aide à des enfants en grande souffrance physique ,psychologique et sociale,était bonne sauf qu’à un moment donné celà à dégénéré et complétement dérapé,Personne n’en a su quoi que ce soit et ce complot à prit une bonne forme pour ses dirigeants..Qui n’ont fait que continuer cette oeuvre machiavélique et faisant passer les parents pour des fous furieux,qui tentaient de récupérer leurs progénitures..Bien entendu il y a eu aussi entre temps des psychiatres qui sont intervenu,et de magistrats déjà à l’époque des faits, prit dans ce tourbillon malsain..Personne n’a rien dit,personne n’a été confronté a la vérité des leurs délits,personne n’a été condamnés..Alors pensent ils pourquoi s’arrêter en si bon chemin..C’est donc ce qu’on nomme aujourd’hui » les Placements abusifs d’enfants » ou de très nombreux parents crientlleurs désespoirs de revoir un jour leurs enfants près d’eux..Et puis au fil des générations,des moeurs ,des décrets et des lois,est née une loi contre les violences masculines,interdisant le mari ou compagnons de violenter sous toutes formes possibles sa femme et ses enfants. Bien entendu,là ces compagnons et maris violents ont prit comme une claque cette nouvelle loi, qu’ils ont perçu comme une trahison . Il aurait été souhaitable aussi qu’une loi naisse sur les violences Féminines… De nombreuses associations se battent sur la toile pour les victimes,

e nombre de mineurs placés en France est, en proportion, supérieur à celui de nombreux autres pays européens.

3. La France se situe donc dans le groupe des pays où le taux de placement est le plus élevé.

L’article L 311-9 du code de l’action sociale et des familles (CASF) déclare que les services de l’aide sociale à l’enfance « doivent rechercher une solution évitant la séparation ou si une telle solution ne peut être trouvée, établir un projet propre à permettre leur réunion dans les plus brefs délais et à suivre ce projet jusqu’à ce qu’il aboutisse».

4. Pour autant, six ans après l’adoption de la loi du 5 mars 2007, la CNCDH constate que les principaux objectifs visés par la réforme n’ont toujours pas été atteints. Ainsi, si la prévention était le maître mot de la loi, depuis 2005 moins de 20% des financements de l’aide sociale à l’enfance sont consacrés à des programmes de prévention

5. Les auditions des différents acteurs de la protection de l’enfance ont mis en évidence des distorsions entre les textes et la pratique, et le manque de mise en oeuvre des recommandations des organes internationaux, notamment les directives des nations Unies du 30 octobre 2009 concernant les modes non traditionnels de prise en charge des enfants et la recommandation du 16 mars 2005 du Conseil de l’Europe relative aux droits des enfants vivant en institution. La CNCDH constate que plusieurs recommandations formulées en 2001 n’ont pas été retenues et restent pourtant d’actualité.

7. La CNCDH ne remet pas en cause le principe des placements d’enfants, ces derniers se révélant légitimes et nécessaires en cas de maltraitance. Toutefois, d’après le rapport Naves – Cathala de 2011, confirmé par les propos de Pierre Naves, inspecteur général des affaires Sociales en février 2012, 50% des placements pourraient être évités.

Champ de la protection de l’enfance

9. La loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance a redéfini les objectifs et le champ de la protection de l’enfance en proposant une définition large qui va de la prévention des difficultés auxquelles les parents peuvent être confrontées dans l’exercice de leurs responsabilités parentales jusqu’à la substitution familiale (article L.AA2-3 du code de l’action sociale et des familles (CASF).

La loi a également opéré un changement de vocabulaire juridique en introduisant la notion d’« enfance en danger ou en risque de l’être», et en supprimant la notion de maltraitance. Dès lors les situations qui peuvent conduire à l’intervention de l’aide sociale à l’enfance, et éventuellement déboucher sur un placement de l’enfant, sont extrêmement variées. (…….) A l’inverse, pour des situations de négligence ou de carences de la part des parents (qui constituent la majorité des situations connues dans le champs de la protection de l’enfance) le recours au placement, hors de la cellule familiale va être décidé, sans que soient recherchées d’autres solutions sur le long terme. Ainsi, selon Pierre Naves, inspecteur général des affaires sociales, en février 2012, 50% des placements d’enfant auraient pu être évités.

L’obligation positive d’accompagnement : de la prévention à l’intervention éducative

13. La CNCDH a constaté que dans la pratique il existe peu d’échanges autour du projet personnalisé pour l’enfant (PPE) (article. L223-1 du CASF), les familles ne sont que rarement associées à l’élaboration de ce projet.

Beaucoup de familles ont le sentiment qu’elles n’ont pas le choix et que ce qui leur est présenté comme des mesures de prévention sont des mesures imposées, voire un renforcement du contrôle, plus qu’un véritable accompagnement. La CNCDH rappelle qu’un projet pour l’enfant (PPE) doit systématiquement être élaboré et ce dès le début de la mise en oeuvre de la mesure d’assistance éducative. Ce projet qui a pour but de construire et de rassembler les objectifs et les modalités des différentes interventions socio-éducatives au regard des besoins de l’enfant et de sa famille, doit être élaboré avec les parents et ne doit pas être un document qui s’impose à eux.

Le droit à un procès équitable

17. Lors des auditions qu’elle a réalisées, la CNCDH a pu noter la faible effectivité du principe du contradictoire dans les procédures d’assistance éducative.

18. Les services d’aide sociale à l’enfance et les juges des enfants constatent que très peu de familles consultent leur dossier au greffe du tribunal, non par manque d’intérêt, mais à cause des conditions d’accès lourdes et inadaptées (….) et le plus souvent parce que les rapports des services sociaux arrivent la veille ou le jour même de l’audience devant le juge. La possibilité d’accès aux documents est donc souvent un leurre qui met à mal le principe du contradictoire garant d’un procès équitable.

19. Par ailleurs, l’article 1189 du Code de procédure civile dispose que le juge des enfants peut entendre « toute personne dont l’audition lui paraît utile ». (…..) L’ avocat (des familles) pourrait également participer aux réunions de synthèse des services de l’ASE, notamment quand le juge leur délègue les modalités de mise en oeuvre de ses décisions.

En application des textes internationaux, la CNCDH recommande donc, en matière d’assistance éducative : (….)

– Que le greffe transmette systématiquement les rapports (d’expertise, sociaux, psychologiques…) à l’avocat (des parents et/ou de l’enfant), et ce en temps utile pour assurer l’effectivité du principe du contradictoire à l’audience.

– Que soit expérimenté, sur le modèle belge, la transmission aux intéressés des rapports les concernant, auxquels ils sont invités à apporter leurs contributions.

20. La Cour européenne des droits de l’homme et le droit interne précisent que les décisions de placement constituent une ingérence grave dans le droit au respect de la vie privée et familiale. Mais la CNCDH a constaté que les jugements de placement en première instance étaient assorties, quasi systématiquement et sans être motivées, de l’exécution provisoire et ce de façon non conforme à la loi (articles 514 à 526 du code de procédure civile). Or, lorsque l’enfant a fait l’objet d’une décision de placement éxécutée, il parait bien plus difficile, pour le magistrat d’appel, de revenir sur cette décision

Les mesures d’assistance éducative : diversification des modes de prises en charge et alternatives au placement

21. La loi du 5 mars 2007 a prévu de « diversifier les modes d’intervention auprès des enfants et de leur famille (…) Mais, selon un enquête menée par l’ONED, il apparaît que très peu de départements ont mis en place les dispositifs alternatifs crées par la loi : AEMO avec hébergement, accueil de jour, placement au domicile, accueil séquentiel… Le retrait de l’enfant de sa famille doit être considéré comme une mesure de dernier recours. Or on constate que le placement en foyer ou en famille d’accueil est souvent privilégié en première intention, sans même avoir préalablement envisagé des solutions avec l’environnement proche connu de l’enfant (grands-parents, tiers digne de confiance…), qui sont moins stigmatisantes et traumatisantes.

Le maintien des liens avec la famille

22. Comme l’a rappelé la CEDH à de multiples reprises, le but d’un placement est « d’unir à nouveau le parent et l’enfant ». Dès lors, sauf dans des cas très précis, la durée du placement doit être la plus courte possible et tout doit être mis en oeuvre pour maintenir les liens familiaux et faciliter le retour de l’enfant au sein de sa famille.

23. Pourtant, plusieurs études ou témoignages tendent à montrer que toutes les conditions ne sont pas mises en oeuvre pour maintenir ou rétablir les liens parents/enfants (…) :

– les droits de visite et d’hébergement ne sont pas toujours respectés et facilités par les services de l’ASE ;

– l’absence d’information des parents en cas d’absence ou de fugue de leur enfant,

– des horaires de visite non adaptés aux horaires de travail des parents et aux activités des enfants ;

– le recours aux visites médiatisées est de plus en plus fréquent, sans que le recours à la médiatisation soir motivé et alors que pour certains parents la présence d’un tiers trouble le dialogue avec leur enfant ;

– des lieux de placement éloignés du domicile des parents, bouleversant la vie scolaire, sociale, culturelle des enfants et limitant les possibilités d’exercice du droit de visite pour les parents ;

– le placement d’enfants d’une même fratrie dans des lieux différents et éloignés ;

24; Il convient aussi de rappeler qu’en cas de placement, les parents conservent généralement les attributs de l’autorité parentale qui ne sont pas inconciliables avec la mesure : autorisation de soins, orientation scolaire, sorties du territoire, etc. Or on constate que c’est l’institution qui en prend le plus souvent la charge et exclut les parents des actes usuels concernant leur enfant, contrairement à ce que prévoit la loi. (…). Force est de constater que les fratries sont encore souvent séparées, non dans l’intérêt des enfants, mais du fait de contraintes matérielles et de service. Le maintien des liens entre les enfants séparés est souvent difficile.

27. La CNCDH attire l’attention sur la pratique néfaste qui consiste à changer un enfant de famille d’accueil dès qu’un attachement trop fort se manifeste. Or, cet attachement est nécessaire au développement et à l’épanouissement de l’enfant et doit pouvoir être vécu sans concurrence avec la famille d’origine à laquelle l’enfant est également attaché. Pour ce faire, l’enfant devra être élevé dans la compréhension claire de la place de chacun.

Annexes :

– Conseil général de l’Aube : un schéma départemental de protection de l’enfance novateur Cette expérience a démarré il y a plus de dix ans, dans le contexte du schéma départemental de protection de l’enfance 2005-2010. (…) Les travailleurs sociaux sont là pour soutenir les familles si besoin. Le principe est de motiver les parents, en s’appuyant sur leurs propres capacités. (…)

Le Conseil général de l’Aube a également fait évoluer le placement avec un nouveau dispositif : Placement hors les murs », c’est-à-dire, hors des établissements)

Grâce au PHOM, des enfants faisant l’objet d’une procédure de placement peuvent rester chez leurs parents. En contrepartie, ceux-ci s’engagent à accueillir, à leur domicile, une équipe éducative.

Educateurs, assistantes sociales et TISF (techniciennes de l’intervention sociale et familiale) se relaient au quotidien. Objectif : aider les parents à assumer leurs responsabilités éducatives.

Le PHOM ne peut pas être utilisé dans tous les cas (par exemple, lorsque les parents présentent des maladies psychiques, addictions ou déficiences sévères). Mais il a fait ses preuves.

La durée des placements s’est réduite, pour le grand bénéfice des enfants et de leurs parents. Sans compter la diminution des coûts pour la collectivité (trois fois moins cher qu’un accueil en établissement).

e nombre de mineurs placés en France est, en proportion, supérieur à celui de nombreux autres pays européens.

3. La France se situe donc dans le groupe des pays où le taux de placement est le plus élevé.

L’article L 311-9 du code de l’action sociale et des familles (CASF) déclare que les services de l’aide sociale à l’enfance « doivent rechercher une solution évitant la séparation ou si une telle solution ne peut être trouvée, établir un projet propre à permettre leur réunion dans les plus brefs délais et à suivre ce projet jusqu’à ce qu’il aboutisse».

4. Pour autant, six ans après l’adoption de la loi du 5 mars 2007, la CNCDH constate que les principaux objectifs visés par la réforme n’ont toujours pas été atteints. Ainsi, si la prévention était le maître mot de la loi, depuis 2005 moins de 20% des financements de l’aide sociale à l’enfance sont consacrés à des programmes de prévention

5. Les auditions des différents acteurs de la protection de l’enfance ont mis en évidence des distorsions entre les textes et la pratique, et le manque de mise en oeuvre des recommandations des organes internationaux, notamment les directives des nations Unies du 30 octobre 2009 concernant les modes non traditionnels de prise en charge des enfants et la recommandation du 16 mars 2005 du Conseil de l’Europe relative aux droits des enfants vivant en institution. La CNCDH constate que plusieurs recommandations formulées en 2001 n’ont pas été retenues et restent pourtant d’actualité.

7. La CNCDH ne remet pas en cause le principe des placements d’enfants, ces derniers se révélant légitimes et nécessaires en cas de maltraitance. Toutefois, d’après le rapport Naves – Cathala de 2011, confirmé par les propos de Pierre Naves, inspecteur général des affaires Sociales en février 2012, 50% des placements pourraient être évités.

Champ de la protection de l’enfance

9. La loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance a redéfini les objectifs et le champ de la protection de l’enfance en proposant une définition large qui va de la prévention des difficultés auxquelles les parents peuvent être confrontées dans l’exercice de leurs responsabilités parentales jusqu’à la substitution familiale (article L.AA2-3 du code de l’action sociale et des familles (CASF).

La loi a également opéré un changement de vocabulaire juridique en introduisant la notion d’« enfance en danger ou en risque de l’être», et en supprimant la notion de maltraitance. Dès lors les situations qui peuvent conduire à l’intervention de l’aide sociale à l’enfance, et éventuellement déboucher sur un placement de l’enfant, sont extrêmement variées. (…….) A l’inverse, pour des situations de négligence ou de carences de la part des parents (qui constituent la majorité des situations connues dans le champs de la protection de l’enfance) le recours au placement, hors de la cellule familiale va être décidé, sans que soient recherchées d’autres solutions sur le long terme. Ainsi, selon Pierre Naves, inspecteur général des affaires sociales, en février 2012, 50% des placements d’enfant auraient pu être évités.

L’obligation positive d’accompagnement : de la prévention à l’intervention éducative

13. La CNCDH a constaté que dans la pratique il existe peu d’échanges autour du projet personnalisé pour l’enfant (PPE) (article. L223-1 du CASF), les familles ne sont que rarement associées à l’élaboration de ce projet.

Beaucoup de familles ont le sentiment qu’elles n’ont pas le choix et que ce qui leur est présenté comme des mesures de prévention sont des mesures imposées, voire un renforcement du contrôle, plus qu’un véritable accompagnement. La CNCDH rappelle qu’un projet pour l’enfant (PPE) doit systématiquement être élaboré et ce dès le début de la mise en oeuvre de la mesure d’assistance éducative. Ce projet qui a pour but de construire et de rassembler les objectifs et les modalités des différentes interventions socio-éducatives au regard des besoins de l’enfant et de sa famille, doit être élaboré avec les parents et ne doit pas être un document qui s’impose à eux.

Le droit à un procès équitable

17. Lors des auditions qu’elle a réalisées, la CNCDH a pu noter la faible effectivité du principe du contradictoire dans les procédures d’assistance éducative.

18. Les services d’aide sociale à l’enfance et les juges des enfants constatent que très peu de familles consultent leur dossier au greffe du tribunal, non par manque d’intérêt, mais à cause des conditions d’accès lourdes et inadaptées (….) et le plus souvent parce que les rapports des services sociaux arrivent la veille ou le jour même de l’audience devant le juge. La possibilité d’accès aux documents est donc souvent un leurre qui met à mal le principe du contradictoire garant d’un procès équitable.

19. Par ailleurs, l’article 1189 du Code de procédure civile dispose que le juge des enfants peut entendre « toute personne dont l’audition lui paraît utile ». (…..) L’ avocat (des familles) pourrait également participer aux réunions de synthèse des services de l’ASE, notamment quand le juge leur délègue les modalités de mise en oeuvre de ses décisions.

En application des textes internationaux, la CNCDH recommande donc, en matière d’assistance éducative : (….)

– Que le greffe transmette systématiquement les rapports (d’expertise, sociaux, psychologiques…) à l’avocat (des parents et/ou de l’enfant), et ce en temps utile pour assurer l’effectivité du principe du contradictoire à l’audience.

– Que soit expérimenté, sur le modèle belge, la transmission aux intéressés des rapports les concernant, auxquels ils sont invités à apporter leurs contributions.

20. La Cour européenne des droits de l’homme et le droit interne précisent que les décisions de placement constituent une ingérence grave dans le droit au respect de la vie privée et familiale. Mais la CNCDH a constaté que les jugements de placement en première instance étaient assorties, quasi systématiquement et sans être motivées, de l’exécution provisoire et ce de façon non conforme à la loi (articles 514 à 526 du code de procédure civile). Or, lorsque l’enfant a fait l’objet d’une décision de placement éxécutée, il parait bien plus difficile, pour le magistrat d’appel, de revenir sur cette décision

Les mesures d’assistance éducative : diversification des modes de prises en charge et alternatives au placement

21. La loi du 5 mars 2007 a prévu de « diversifier les modes d’intervention auprès des enfants et de leur famille (…) Mais, selon un enquête menée par l’ONED, il apparaît que très peu de départements ont mis en place les dispositifs alternatifs crées par la loi : AEMO avec hébergement, accueil de jour, placement au domicile, accueil séquentiel… Le retrait de l’enfant de sa famille doit être considéré comme une mesure de dernier recours. Or on constate que le placement en foyer ou en famille d’accueil est souvent privilégié en première intention, sans même avoir préalablement envisagé des solutions avec l’environnement proche connu de l’enfant (grands-parents, tiers digne de confiance…), qui sont moins stigmatisantes et traumatisantes.

Le maintien des liens avec la famille

22. Comme l’a rappelé la CEDH à de multiples reprises, le but d’un placement est « d’unir à nouveau le parent et l’enfant ». Dès lors, sauf dans des cas très précis, la durée du placement doit être la plus courte possible et tout doit être mis en oeuvre pour maintenir les liens familiaux et faciliter le retour de l’enfant au sein de sa famille.

23. Pourtant, plusieurs études ou témoignages tendent à montrer que toutes les conditions ne sont pas mises en oeuvre pour maintenir ou rétablir les liens parents/enfants (…) :

– les droits de visite et d’hébergement ne sont pas toujours respectés et facilités par les services de l’ASE ;

– l’absence d’information des parents en cas d’absence ou de fugue de leur enfant,

– des horaires de visite non adaptés aux horaires de travail des parents et aux activités des enfants ;

– le recours aux visites médiatisées est de plus en plus fréquent, sans que le recours à la médiatisation soir motivé et alors que pour certains parents la présence d’un tiers trouble le dialogue avec leur enfant ;

– des lieux de placement éloignés du domicile des parents, bouleversant la vie scolaire, sociale, culturelle des enfants et limitant les possibilités d’exercice du droit de visite pour les parents ;

– le placement d’enfants d’une même fratrie dans des lieux différents et éloignés ;

24; Il convient aussi de rappeler qu’en cas de placement, les parents conservent généralement les attributs de l’autorité parentale qui ne sont pas inconciliables avec la mesure : autorisation de soins, orientation scolaire, sorties du territoire, etc. Or on constate que c’est l’institution qui en prend le plus souvent la charge et exclut les parents des actes usuels concernant leur enfant, contrairement à ce que prévoit la loi. (…). Force est de constater que les fratries sont encore souvent séparées, non dans l’intérêt des enfants, mais du fait de contraintes matérielles et de service. Le maintien des liens entre les enfants séparés est souvent difficile.

27. La CNCDH attire l’attention sur la pratique néfaste qui consiste à changer un enfant de famille d’accueil dès qu’un attachement trop fort se manifeste. Or, cet attachement est nécessaire au développement et à l’épanouissement de l’enfant et doit pouvoir être vécu sans concurrence avec la famille d’origine à laquelle l’enfant est également attaché. Pour ce faire, l’enfant devra être élevé dans la compréhension claire de la place de chacun.

Annexes :

– Conseil général de l’Aube : un schéma départemental de protection de l’enfance novateur Cette expérience a démarré il y a plus de dix ans, dans le contexte du schéma départemental de protection de l’enfance 2005-2010. (…) Les travailleurs sociaux sont là pour soutenir les familles si besoin. Le principe est de motiver les parents, en s’appuyant sur leurs propres capacités. (…)

Le Conseil général de l’Aube a également fait évoluer le placement avec un nouveau dispositif : le PHOM (« Placement hors les murs », c’est-à-dire, hors des établissements). Grâce au PHOM, des enfants faisant l’objet d’une procédure de placement peuvent rester chez leurs parents. En contrepartie, ceux-ci s’engagent à accueillir, à leur domicile, une équipe éducative. Educateurs, assistantes sociales et TISF (techniciennes de l’intervention sociale et familiale) se relaient au quotidien. Objectif : aider les parents à assumer leurs responsabilités éducatives. Le PHOM ne peut pas être utilisé dans tous les cas (par exemple, lorsque les parents présentent des maladies psychiques, addictions ou déficiences sévères). Mais il a fait ses preuves. La durée des placements s’est réduite, pour le grand bénéfice des enfants et de leurs parents. Sans compter la diminution des coûts pour la collectivité (trois fois moins cher qu’un accueil en établissement).

/url]http://www.cg-aube.fr/197-protection-de-l-enfance.htm

22. ceri (site web) 06/12/2015

pédophilie en France et ailleurs
a dénoncer

http://dondevamos.canalblog.com/

23. julia 05/01/2016

une information à tous les parents encore novices. Les AGF, association de famille, sont contre les parents et donc contre les enfants par conséquent. Ce sont des lieux médiatisés où les parents sont commandés avec leur enfant et les enfants sont très souvent disputés. Mon enfant s'est fait réprimandé, je n'avais pas le droit de le consoler dans mes bras. J'ai pris ce droit faites comme moi

24. ViolSurEnfantPlacéEnFoyer (site web) 11/01/2016

Organisation mondial de pédo criminalité
Faire circuler informer sur votre blog

au maximum

/https://comitecedif.wordpress.com/2015/10/09/suivi-medical-des-enfants-places-un-temoignage-effarant/

25. pedocriminalite (site web) 11/01/2016

https://comitecedif.wordpress.com/category/pedocriminalite/

Viols en foyers pour mineurs
Publié: 04/11/2015 dans
Contre-attaques, Foyers de l'enfance, Magistrature, Pédocriminalité

aladin, Angers, complicité de viol, destruction de preuves, foyers de l'enfance, fugue, ITEP, MECS, SUD, viols sur mineurs 6

Des affaires loin d’être isolées

L’affaire de viols sur mineurs dans le cadre de la « protection de l’enfance » est loin d’être une première dans tout l’hexagone, mais enfin elle est médiatisée, ne serait-ce que dans la presse régionale, en l’occurrence Ouest France.

Comment s’étonner d’ailleurs que des lieux de promiscuité et d’absence éducative que sont de trop nombreux foyers de l’ASE soient les théâtres d’abus sur mineurs ?

Nous ne nous en étonnons pas au CEDIF, puisque nous nous sommes déjà offusqués de la volonté de certains de mettre fin aux centres éducatifs fermés afin de mélanger mineurs délinquants avec leurs victimes potentielles.

Comme dans un moulin, on y entre et on en fugue

ATTENTION AUX ASSISTANTES SOCIALES ET EDUCATEURS PR ENFANTS
JUGES POUR ENFANTS ET FONCTIONNAIRES D ETAT EN RAPPORTS

AVEC LES ENFANTS COMME LA MAISON DE LA SOLIDARITE ET CONSEIL GENERALS DANS TOUS LES DEPARTEMENTS EN FRANCE

A.S.E. DANGER ILS SONT AU COURANT DE LA PEDOCRIMINALITE

https://comitecedif.wordpress.com/category/pedocriminalite/

26. epain gwladys (site web) 22/01/2016

le 21 janvier sur france2 Cohn Bendit etait l'invité de Pujadas , cohn bendit qui se vante depuis 82 d'être pédophile, personne ne lui dit rien et ce sale type continue de faire l'opinion cela m'effraie vraiment

27. hassevelde 22/01/2016

bonjour maman de 5 enfants placées dans différents lieu d'accueil la on vient de me suspendre mon droit d'hébergement les week-end sans aucun motif on m'annonce cela par telephone en ne m'expliquant pas le motif de cette suspension j'ai rdv avec l'ase lundi pour savoir ce qu'il en et mais je sais que c'est le pot de fer contre le pot de terre!!! on me reproche souvent des choses que soi disant mes enfants auraient dit alors qu'ici a la maison ils me disent que personne ne les écoute!!! j'ai l'impression que l'ase écrit une histoire dans laquelle je subis les conséquences comme une marionnette ainsi que mes enfants!!!

28. ASEcommentçamarche? (site web) 28/01/2016

L’ASE, comment ça marche ?

https://comitecedif.wordpress.com/2016/01/22/lase-comment-ca-marche/

La mal-nommée Aide Sociale à l’Enfance est un se®vice qui dépend des Conseils départementaux. Il peut s’organiser différemment selon les départements mais est uniformisé par la loi du 5 mars 2007.

Il existe un jargon à connaître et à maîtriser pour bien comprendre son fonctionnement.

L’IP cela veut dire = L’information préoccupante (IP) est la porte d’entrée de l’ASE. Elle peut être déclenchée par n’importe qui.

Elle concerne l’enfance susceptible d’être en danger, une notion qui comprend :

les enfants maltraités, c’est-à-dire les mineurs victimes de violences physiques, psychologiques, d’abus sexuels, de négligences lourdes ;
les enfants en risque, terme qui désigne des mineurs dont les conditions d’existence sont de nature à mettre en danger leur santé, leur sécurité, leur éducation, leur entretien.
L’IP passe par une cellule départementale de recueil des informations préoccupantes, appelée CRIP le plus souvent.

La rédaction de l’information préoccupante répond à des règles précises. Elle contient l’identité du professionnel qui la rédige et mentionne les informations rapportées en notant bien si l’informateur a constaté ces faits ou ne fait que rapporter des faits supposés. Doit ensuite être précisé l’identité du mineur et celle des titulaires de l’autorité parentale. Tout renseignement sur les personnes vivant au domcile, le lieu de garde et de l’école sont mentionnés.

Le rédacteur devra prendre soin à ne pas affirmer ce qu’il n’a pas constaté. Il n’écrira donc pas « la mère frappe son fils régulièrement » mais « Monsieur X m’a dit lors de notre entretien du jour j que la mère a frappé son fils à la date d. »

Ce que le rédacteur peut constater ne doit pas être imputé sans preuve, il écrira par exemple « j’ai vu que l’enfant présentait un hématome, il m’a dit que sa mère le lui a fait » et non « l’enfant s’est présenté à moi avec un hématome causé par sa mère ». Un tel écrit justifierait en effet des poursuites pour dénonciation calomnieuse.

L’IP est ensuite transmise au service départemental de la protection de l’enfance qui prend aussi contact avec le secteur médico-social. Il s’agira d’abord de vérifier si la situation est déjà connue par les services sociaux auquel cas elle alimentera un dossier déjà existant. Sinon soit la situation n’a pas un caractère de gravité et il ne sera pas nécessaire d’aller plus avant (clôture sans suite), soit sa gravité selon l’interlocuteur nécessitera une visite immédiate d’un assistant de service social ou une visite sous quinzaine.

Les parents seront informés de la transmission de l’information préoccupante au président du conseil départemental. Ils sont aussi informés des services auxquels l’IP est envoyée, des autres intervenants à qui l’IP a été communiquée ainsi que des informations recherchées sur la famille mise en cause. Enfin doit leur être communiqué le contenu du rapport d’évaluation et ses conclusions. Il suffit cependant de dire que la transparence peut nuire à l’enfant pour obtenir le black out informationnel.

Protection administrative
L’ASE pourra intervenir suite à une IP en mettant en place ce qui est qualifié de protection administrative, à ce stade la justice n’est pas saisie.

Par contre des mesures seront prises telles que :

L’intervention d’une TISF (technicienne d’intervention sociale et familiale) qui pourra participer au ménage, à la préparation des repas, à l’aide aux devoirs …
Un AESF (accompagnement en économie sociale et familiale) qui consiste le plus souvent à aider à gérer le budget d’une famille ;
Une AEA (assistance éducative administrative) consistant à « aider » les parents à mieux éduquer leurs enfants.
Ces trois types de mesures sont des AED (actions éducatives à domicile), mais il existe aussi l’accueil provisoire du mineur en fugue ou un accueil provisoire prévention qui consiste à placer l’enfant à la demande des parents.

La mesure de placement administrative est d’une année au maximum ; mais elle peut être renouvelée.

Ces mesures peuvent aussi intervenir à la demande expresse des parents. D’ailleurs, elles sont théoriquement décidées qu’avec l’accord des parents même si elles peuvent faire l’objet de pressions des travailleurs sociaux qui pourront prétexter de l’opposition des parents aux mesures proposées pour déclencher un signalement.

Protection judiciaire
Si l’inspecteur de l’enfance, c’est-à-dire le directeur des services de l’enfance, prétend qu’il existe un situation de danger grave ou imminent sur l’enfant (maltraitance physique, sexuelle) ou que les parents refusent de collaborer aux mesures administratives, alors il émet un signalement auprès du procureur de la république dont les parents sont informés.

Le plus souvent ce signalement conduit à la saisine du juge des enfants, l’ASE préconisera alors des mesures de protection qu’elle mettra elle-même en place. Nous ne sommes plus là dans le cadre de la protection administrative mais dans celui de la protection judiciaire.

Les mesures qui seront décidées par le juge des enfants pourront être :

Une AEMO (aide éducative en milieu ouvert), c’est le cas de figure le « moins pire », les travailleurs sociaux vont fouiner partout mais les enfants ne sont pas enlevés ;
Un placement chez l’autre parent, un membre de la famille ou un tiers de confiance ;
Une ISOE (Investigation et Orientation Éducative) qui consiste à permettre à un travailleur social d’évaluer la situation avec une expertise psychologue pour le mineur voire les parents, le juge prendra ensuite une décision à partir de ces évaluations ;
Un PAED (placement éducatif à domicile) qui consiste à placer l’enfant au sein du domicile familial pour 6 mois, mesure renouvelable une fois, mais il faut alors établir que l’enfant n’est pas en danger et qu’il s’agit de renforcer les compétences parentales ;
Un placement dans un foyer ou une famille d’accueil, mais dans ce cas les parents doivent être consultés pour un projet notamment éducatif fixant des objectifs au placement à travers un PPE (projet pour l’enfant).
Les placements judiciaires peuvent aller jusqu’à deux ans, mais sont renouvelables notamment sur proposition des travailleurs sociaux qui motivent ces renouvellement dans leurs rapports. Dans les faits certains enfants ne seront jamais rendus à leur famille.

Attention à vos enfants - protèger les

29. visconti 04/10/2016

Comme toutes les familles, j'ai subi l'injustice et la calomnie. Je sais à présent que leur but est de nous enlever définitivement nos enfants. Je ne voyais mon fils qu'une heure par semaine, en visite médiatisée. A présent, ils ont rédigé un rapport mensonger sur moi pour que je ne puisse le voir que tous les 15 jours. Ils ont inventé une relation toxique de parent à enfant grâce aux expertises psy mandaté par le juge pour justifier le placement de mon enfant.
Mon enfant vomi et il est très maigre, il a 5 ans il ne pèse que 13 kilos pour 100 cm .Il est sous la courbe moyenne de poids et j'ai peur pour lui. Quelquefois, il m'arrive de lui donner un goûter, un pain au chocolat par exemple. Il dit qu'il a faim.
L'ase veut m'interdire de donner quoi que ce soit à mon fils pour qu'il soit encore plus maigre. Ils veulent m'exclure totalement de la vie de mon enfant. J'ai l'autorité parentale mais je suis seule avec mon fils. Ils me l'ont volé et ça fait 5 ans que je passe d'un appel à un autre sans avocat motivé par ma cause. C'est un véritable cauchemar. Je suis en cassation depuis 9 mois et je n'ai toujours pas de réponse. J'ai poursuivi l'avocat pour aller en cassation, il ne me donnait pas les pièces nécessaires.

30. Epain Gwladys (site web) 05/10/2016

Bonjour Visconti , venez sur Facebook , on s'est réunis en association pour nous entraider . gwladys epain

31. Saintenoy 28/12/2016

Bonjour Madame, Monsieur,

Mon fils a été placé suite à une tentative de suicide avec 1,5 mois d hospitalisation. Le centre hospitalier a pris l initiative de faire placer mon fils en OPP.

Mon fils a été placé 3 semaines à Charleville Mezieres pour etre transfert dans une autre famille d accueil 3 semaines sur Maisons Alfort, 1 ans dans l Oise dans une autre famille d accueil et depuis juillet 2016 dans un foyer dans l Essonnes.

Suite à plusieurs appels téléphoniques de mon fils concernant l état d hygiène et de securite, je me suis permise de faire une lettre recommandée aux services de la DDPP d Evry pour en faire le signalement avec des photos à l appuies.
Avant de faire cette demarches, j ai contacte la DDPP pour savoir si les courriers étaient dénoncés. On m'a remis comme reponse : non c est anonyme. Mensonge !!!!!
Ils ont fait transmettre mon courrier sans mon accord, directement aux services d ASE de Massy.

En même temps, j ai signale en octobre dernier que dans le foyer il devait avoir une educatrice scolaire " comme c est signalé sur l admission au foyer" depuis la rentree des classe. Ce qui n était pas du tout le cas. Après avoir fait cette remarque, l éducatrice sait présentée devant les enfants après les vacances de la toussaint.

Mon enfant etant faible sur une matière et que personne etait present pour l accompagne, j ai demandé aux services d ASE, de lui financier un stage en anglais pendant une semaine sur ses vacances de la toussain. Se stage lui a été accepté mais reprocher devant le juge.

Et sans compter tout ce dont je ne peux vous écrire...... Depuis se jour, c est un enfer pour moi comme pour mon fils. Le foyer ne veut plus recevoir mon fils. On le jeté. C est malheureux français vivant dans son pays, nous ne sommes pas libre de se défendre et dire exactement la réalité sans que cela vous tombe sur le coin de la figure.

Nous sommes passés en jugement, ou l on me fait passer pour une mere beaucoup trop omniprésente sur sa vie privée comme sur le suivie de son quotitient. Comment peut on reprocher à une mere de s occuper trop de son fils quand il y a des appels, SMS, photos de se dernier !!! Une mere est la, normalement pour aider, accompagner et surveiller son enfant....

Depuis le placement, le 1er et 2eme juges ont mis en place des visites médiatisées qu ils ne sont même pas respecter. Sachant qu entre 07/14-12/16, nous sommes rendus à 6 psychologues. Comment peut on suivre une famille "soit disant en difficulté familiale" Avec autant de changement. Sans compter tout le reste que je ne peux vous cités, car la liste est beaucoup trop longue. Ce que j ai su le faire signer à tous ses services ainsi qu au juge..... Mais j ai vraiment l impression de déranger tout se monde.

Au dernier jugement, le magistra m'a demandé devant toutes les personnes "éducateurs, responsable du foyer, Inspectrice et référence de l ASE de laisser mon fils et de laisser les services faire leurs travail.
Comment peut on laissé des personnes comme ses gens la, qui ne font pas leurs travail aupres des établissements scolaire, medecins, et de traiter les enfants comme des pions, des larbins dans ses foyers de merdes.

A ce jour, je suis une maman qui sait toujours occupé de son fils depuis sa naissance. J ai le coeur complément déchirer sur des propos pareil "cite au-dessus" venant d un magistrat pour défendre toutes ses institutions qui sont rémunérées par l état.

Quand un enfant, se permet de faire appel à ses parents concernant l hygiène, le comportement qu ils ont aupres d eux. Qu est ce que les parents doivent faire ? Laissez toutes ses personnes démolir l éducation, quI lui a été transmise de grands parents parents oncles etc....

Il ne faut pas s étonné de toute ses échecs scolaires, échecs dans la vie active etc....

Le foyer demande au magistrat que l enfant doit être traiter et suivie comme tous les autres enfants meme celui ci vient d un milieu assez aisé.

Je vous demande aujourd hui, s il existe une association pour pouvoir m aider, me guider sur se fonctionnement degueulasse.

En espérant avoir une reponse de votre part,

Illona

32. Epain Gwladys (site web) 02/01/2017

Voilà l'ASE de Bressuire( 79) et la juge des enfants Anne M. ont gagné ,ils ont tellement menti à ma fille que cette derniere refuse de me voire .Pour ma fille sa famille c'est l'assistante familliale Marie Christine J. . Ils sont tranquilles ils vont pouvoir toucher leur 72000 euros par an pendant encore quinze ans .Quant à moi tout est fini.

33. Anonyme 15/01/2017

Mon assistante sociale a écrit un faux rapport après une enquête illégale avec une collègue à elle infirmière de PMI , maintenant l'ASE veut échanger avec moi pour un suivi éducatif et ma fille ne veut pas les voir, moi non plus d'ailleurs, ce Faux rapport à été écrit par la dame du CMS de polygone à Valence, et sa complice l'infirmière de PMI , c'est des menteuses et double face.
Donnez moi svp votre facebook

34. Epain Gwladys (site web) 24/01/2017

gwladyssylvainepainsuire

35. visconti 01/02/2017

Ce soir l'émission sur france 2 familles précaires comment protéger les enfants à 22 h30 est une calomnie pour tous les parents qui ne sont pas tous dans la même situation où l'on montre des parents rabaissés en permanence et en situation de détresse. Propagande de merde

36. prieux 07/05/2017

l assistante sociale a fait faire un placement provisoire , juste que ma fille a du mal a manger,,alors que cela fait 2ans que je me bat a cause de sa, oui effectivement je nai pa d appart, et que ma fille vi chez sa grd mere,,jai toujour etait au medecin pour elle,ne manque de rien,je ne boit pas ,ni de drogue,,jamais frapper,,ma fille a 11ans et demi,,deja fragiliser que sa maman la abandonner, a 1ans et 3mois,,et maintenant ont me la prend sans avoir eue aucun courier de qui que se soit ,,une honte,,oui je vais porter plainte ,,et prendre un avocat,,car inacceptable,,je ne vous raconte meme pas dans l etas que je suis,,un papa qui a toujour fait au mieux pour sa fille cheri,,

37. Pellizaro 08/03/2018

Mes enfants placé abusive me part des accusations calomnieux part leur père.depuis 12 ans .

38. izambard gaetan 01/09/2018

Bonjour, ne sachant plus vers qui me diriger je cherche désespérement de l'aide, le 23 octobre dernier ma compagne (Audrey Sossah) a accouchée de mon ainée Harmonie, elle a été placée en famille d'accueil car ma compagne souffre de skyzophrénien, aujourd'hui elle est suivit et soignée pour cette maladie, elle a accouchée de ma seconde fille Jade ce 24 aout tout ce passait bien, j'ai vue la chef puéricultrice du chba de vannes hier elle m'a dit que moi et ma compagne passerai la nuit de dimanche à lundi avec notre fille en néonatalogie et que nous serions rentrés en famille chez nous lundi, en fin de journée j'ai eu un appel de l'ASE pour me dire que le procureur a décidé de placer notre fille sous prétexte qu'elle serait en danger et avec sa mère et que je ne serait pas en capacité de la protéger de ma compagne, la psychiatre de ma compagne est formelle ma femme va bien et est apte à s'occuper d'un enfant. La PMI est venu à mon domicile et a constaté qu'il y a bien tout ce qu'il faut pour accueillir notre fille. C'est un cas de placement abusif d'un nourrisson, sachant que nous avons accepté la visite quotidienne de TISF et de la PMI à notre domicile pour qu'il nous aident, nous conseillent et constatent nos capacités à etre de bon parent. Tout étai OK pour que nous puissions recevoir Jade. Je ne sait plus vers qui me tourner c'est injuste et inhumain, on a pas le droit d'etre parent! Nous sommes désespéré, pouvez vous nous aider? Nous conseiller?
J'espère que vous pourrez nous aider.
Cordialement
izambard gaetan

39. DipasManipuléParMaBelleMere 16/11/2018

Mon cas de placement abusif,étant papa(se qui si est pire que d'être une mere car directement coupable a leur yeux) je vous raconte mon histoire, ma belle mère ne m'aimait pas du tout et qui a promis que si je quitte pas sa fille elle ferait tout pour me détruire tout en sachant que j'aime mon enfant plus que tout elle a était jusqu'à appeler toute les organisation qu'elle connait(dipas,adsea ect..)comme elle m'avait
Promi.sachant que c'est se qui me ferais le plus de mal,suite à ces appel la dipas est venu voir se qui se passer chez nous,n'ayant rien trouver ma belle mere c'est mit a les harceler en allant jusqu'à dire que j'étais alcoolique et que je batté ma femme et mon fils(il faut que je vous dise que c'est une femme avec un talent de persuation incroyable du style bourgeoise qui présente très bien)ayant de plus en plus de convocation à la dipas ma femme voyant que la dipas croyais enormnent sa mere et avec les renseignements que la dipas demandé aux voisin elle supporté pu que les voisin pense qu'on était de mauvais parent a savoir qu'il posé des question si ils avaient déjà remarqué l'enfant avec des bleus ou si ils l'entendé souvent pleuré,a préféré qu'on se sépare un peu de peur de perdre notre fils.se qui a était une belle erreur car en pensant bien faire sa mère en a profité pour en rajouté et dire que sa fille est parti pour soi disant protéger elle est son enfant.Ma femme a essayer deleur expliquer que si elle est parti c'est a cause des réflection des voisin et qu'elle voyait que tout le monde et la dipas croyais les énorme mensonge que sa mère faisait croire,en effet tous se qu'on disait était faux au yeux de la dipas.Se quii a fini par une convocation aux juge des enfant,résultat ma femme a pu garder notre enfant a condition qu'on reste séparé et que moi le père a le droit de voir mon enfant 1heure par semaine sous surveillance de la dipas,depui je me bats je fait tous se qu'on me demande pour prouver que rien n'est vrai,jusqu'a faire des analyses pour prouver que je ne boit ,mais même avec tous sa on ne m'autorise toujours pas a voir mon fils,avec tous les problème que cela a généré ma femme souffre de dépression,se qui a amené le placement de notre fils,moi n'ayant aucun problème je n'ai pas pu avoir la garde de mon fils et ne peu toujours pas le voir plus souvent malgré toutes les preuve que je,apporte rien ne marche car ma belle mère n,arête pas de parlé sur moi,la dipas croir clairement se quelle leur raconte,je sais vraiment plus comment faire je vois mon enfant 1fois par semaine alors que je n'ai rien a me reprocher,sauf d'être un père et pas une mere.

40. christophe lefeuvre 20/07/2019

Bonjour, svp merci de me contacter au 0674002997 je voudrais voir mon fils svp

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