"Elargir" la réflexion à l'école... et à ses méfaits

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# 18/06/2011 à 10:19 Kiwala
Bonjour,

Quoique la question soit un peu "à la marge" des sujets traités ici, elle me taraude, quand je pense au devenir des enfants concernés :
QUID des 4 élèves sur 10 (chiffres officiels !) qui sortent, chaque année, du primaire "sans savoir lire, écrire et compter" correctement, à qui n'auront ainsi pas été données les capacités "de suivre une scolarité normale au collège" ? (Rapport du Haut Conseil de l'éducation, repris par nombre d'autres rapports, nombre d'ouvrages écrits par quelques "dissidents" de l'Education nationale, témoignages d'instit' en colère devant l'immonde gâchis humain, etc.)

De ces enfants qu'on laisse errer, intellectuellement, sans qu'ils puissent se construire correctement sur le plan mental, arriver à l'adolescence le cerveau quasi vide de tout apprentissage scolaire digne de ce nom ?

QUE FAIT ICI la "protection de l'enfance" ?????

Quand l'école, qui les déstructure à qui mieux mieux par une pédagogie instaurée par une bande d'illuminés, ne joue pas SON rôle, et se permet, qui plus est, de rendre les parents, le plus souvent, responsables, voire de "prescrire" des "prises en charge" pour des "troubles" qu'elle génére elle-même ?

Qui va, un jour, dénoncer ce scandale, qui met à mal les enfants stigmatisés, mais aussi les familles, culpabilisées et mises, ainsi, sous le joug très intrusif des "services sociaux" de tout poil ?

Qui va, un jour, crier haut et fort que 40 % d'élèves rendus incapables de progresser correctement, que 40 % d'élèves du primaire envoyés en suivi orthophonique, au CMPP ou ailleurs, ce n'est pas dû "à la société", "aux parents" ni à une soudaine "épidémie" de dyslexie ou de troubles du comportement, mais... à un mode d'enseignement délétère, à une inflation de "dys-pédagogie", comme l'écrit l'auteur d'un des nombreux ouvrages qui dénoncent aujourd'hui les pratiques calamiteuses et destructrices de l'école primaire ?

QUE FAIT, ICI, la "protection de l'enfance" ?????
# 18/06/2011 à 12:46 Boris Tanusheff (site web)
La protection de l’enfance endosse tous ces problèmes aux parents car pour eux tout est bon à prendre comme prétexte pour enlever les enfants et continuer ainsi leur sale business, c’est-à-dire, toucher des subventions, fournir lucrativement le marché d'adoption, et préserver les emplois de leur secteur.
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